Je pense qu'il n'y a pas de paradoxe entre ton amour pour
Troyes et ton désir de voyager.
Le premier pourrait se traduire par un simple:
Allez Troyes!
Quant au deuxième, pareillement, il vient sans doute du fait que tu t'y sens
à l'étroit.
Et quand tu pars dans des pays anglo-saxons, n'aurais-tu pas par hasard tendance, l'euphorie du voyage aidant, à y dire
tro (p) yes? (
)
Et puis quand on est bien portant dans ta ville, que
Troyes et
Santé vont bien ensemble, on peut s'y sentir
Roi (j'offre un sucre au premier qui la comprend, celle-là). En fait, tu t'apercevras facilement qu'entre
Troyes et
Toi, il n'y a qu'un verre de
Sancerre. Mais justement, si tu n'erres pas, comment veux-tu voyager? Il est plutôt là le paradoxe...