ZJF · 27 mars 2020 à 21:45 · 30 photos 51 messages · 11 participants · 3 947 affichages | | | À: Vigounir · 10 juin 2020 à 8:36 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 21 de 51 · Page 2 de 3 · 527 affichages · Partager Merci pour vos recommandations additionnelles. J'ai le même état d'esprit, il y a toujours un intérêt à trouver dans n'importe quel pays. Je ne suis que très rarement déçu. Mais comme les informations sur le pays ne sont pas monnaie courante, j'avais du mal à imaginer le type de voyage que je pourrais y faire. C'est déjà beaucoup plus clair dans ma tête. Je vois que vous avez déjà fait l' Ethiopie, qui m'a toujours attiré et serait également une possibilité pour octobre. Si vous deviez choisir entre Mozambique et Éthiopie? (ne vous sentez pas obligée de répondre ) | | À: Rziplasma · 10 juin 2020 à 9:06 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 22 de 51 · Page 2 de 3 · 521 affichages · Partager Bonjour Olivier, je réponds toujours aux messages. J’ai lu que vous avez visité l’ Afrique du Sud et la Namibie. Mozambique ou Éthiopie sont des destinations africaines tout à fait différentes, des pays beaucoup moins développés. Des pays pauvres, très pauvres, et instables. Tous les deux, mais l’ Ethiopie est beaucoup plus riche en sites à visiter. Le Mozambique ne s’est pas encore remis de la longue guerre civile qui a dévasté le pays. À mon sens l’ Ethiopie est le pays le plus intéressant d’Afrique. À vous de voir... Amicalement | | À: Rziplasma · 10 juin 2020 à 9:28 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 23 de 51 · Page 2 de 3 · 519 affichages · Partager Olivier, Je suis du même avis que Virginie. L' Ethiopie n'est pas vraiment l'Afrique-ce pays n'a pas été colonisé excepté durant 4 ans). D'ailleurs, les habitants ne se sentent pas africains. L'étendue du pays fait qu'il y a une multitude de paysages, de climats, de population d'ethnies totalement différentes. L'histoire y est également très présente. Une architecture en pierre que l'on rencontre rarement en Afrique. J'ai lu le récit de ce post et aussi j'envisageai d'aller au Mozambique et sa lecture m'a fait abandonner ce projet. Visiter l' Ethiopie ne peut se faire en une seule fois tant le pays est étendu et aussi en raison des climats que l'on y rencontre. A partir d'octobre, cela est certainement la meilleure période pour y faire un séjour. A toi de voir. A+ | | À: Doumechris · 10 juin 2020 à 9:42 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 24 de 51 · Page 2 de 3 · 517 affichages · Partager Deux avis pour le prix d'un, merci à vous. L' Ethiopie est dans ma top list depuis plusieurs années mais je n'ai jamais pu le concrétiser. Et des voyageurs avec qui j'ai pu échanger dans le passé m’envoûtaient tous avec leurs récits. J'avoue qu'à première vue, en lisant ce carnet, je n'ai pas ressenti une excitation débordante comme lorsqu'à chaque fois que je commence à me projeter sur une destination.
Je ne vais pas polluer cette discussion plus longtemps. Je vais zieuter l'actualité de l’ Éthiopie, en effet, difficile de vraiment planifier avec l'incertitude encore présente liée au COVID et toutes les restrictions y afférentes. | | À: Rziplasma · 10 juin 2020 à 9:59 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 25 de 51 · Page 2 de 3 · 516 affichages · Partager Bonjour Olivier,
Pour avoir suivi cette discussion j'apporte une nouvelle contribution qui pourra peut-être renforcer ton choix.
Tout d'abord, je partage totalement l'avis de Vigounir concernant le caractère d'exception de Ilha de moçanbique, une halte unique sur cette côte de l’océan Indien dans un Mozambique peu arpenté par les voyageurs.
Lien ci-dessous:
marie-alain.blog4ever.com/...5-ilha-de-mozambique
" Si vous deviez choisir entre Mozambique et Éthiopie?"
...à mon avis (ce n'est que mon avis ! ) voici deux pays radicalement différents tant par leur histoire, leur population et bien entendu par leur géographie.
Si les deux pays peuvent se découvrir en "mode routard", c'est mieux de disposer d'un temps suffisant pour circuler sur ces immenses territoires, les trajets d'une région à une autre sont chronophages.
D'un côté, dans la corne de l'Afrique, un pays de hauts plateaux et de montagnes, et de l'autre au sud de l' Afrique Australe, une vaste région sous influence coloniale (bien décrite par Jean François) qui fait du Mozambique une destination singulière.
Pour ceux qui ont du temps la région de la culture du thé (Gurué en Zambézie au Nord-Est proche du Malawi) mérite qu'on s'y attarde. C'est une zone encore relativement confidentielle:
marie-alain.blog4ever.com/...erdus-de-la-zambezie
L' Ethiopie, pour faire court, c'est un monde à part:
Ci-dessous notre perception de "l’Abyssinie" que mon épouse et moi avons parcourue sans en faire le tour durant deux mois. (novembre 2017 à janvier 2018)
Une vingtaine d'articles sur l' Ethiopie:
marie-alain.blog4ever.com/...u-nilnovembre-2017-a...
Très bonne préparation de voyage!
Alain | | À: Rziplasma · 10 juin 2020 à 13:30 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 26 de 51 · Page 2 de 3 · 499 affichages · Partager Plus simple d'attendre 2021.
Michel | | À: Mvbergen · 10 juin 2020 à 13:38 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 27 de 51 · Page 2 de 3 · 496 affichages · Partager Bonjour Michel, il y a bien longtemps... pour le coup je vous approuve, 2020 année sabbatique... | | À: Vigounir · 10 juin 2020 à 13:44 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 28 de 51 · Page 2 de 3 · 494 affichages · Partager Bonjour Virginie,
Août 2012 mais je ne suis de retour que transitoirement le temps que le TTF ne rouvre. Il faut de la visibilité pour prévoir un voyage "lointain", c'est à dire hors Europe pour un européen et c'est peut-être un peu une loterie. Autant attendre 2021 et consacrer son temps libre au jardinage ou à la cuisine. Bien à vous.
Michel | | À: Mvbergen · 10 juin 2020 à 13:50 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 29 de 51 · Page 2 de 3 · 491 affichages · Partager Bien d’accord avec vous, je ne fais pas partie de ceux - nombreux- qui veulent repartir au plus vite. Je n’aime ni la cuisine ni le jardinage mais je ne m’ennuie pas. Bien à vous! À dans 8 ans... | | À: Mvbergen · 10 juin 2020 à 14:02 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 30 de 51 · Page 2 de 3 · 484 affichages · Partager C'est carrément impossible pour moi. Avoir fait sauter mon voyage en avril (dont je n'ai jamais été remboursé du vol, merci eDreams) m'a déjà fendu le cœur. Faire une année complète sans voyage, ce ne m'est jamais arrivé, je risque de plonger en dépression
Je vais attendre jusque fin juillet pour ma réservation, la situation serait bien plus claire partout dans le monde. Quitte à devoir annuler en dernière minute avant le départ. Mais c'est tellement inimaginable, à mon sens, d'encore se traîner toutes ces lourdes contraintes d'ici 4 mois. | | À: Mars56 · 10 juin 2020 à 14:08 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 31 de 51 · Page 2 de 3 · 483 affichages · Partager J'avais déjà parcouru le blog pour la Mozambique, avec de belles photos d'ailleurs. Il est difficile de comparer des pays mais vos différents avis m'aident grandement dans ma prise de décision. Reste plus qu'à... | | À: ZJF · 11 juin 2020 à 18:50 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 32 de 51 · Page 2 de 3 · 424 affichages · Partager Très intéressant et original compte-rendu à trois mains. Maintenant que Vigounir est sortie du bush, peut-être accepterait-elle de mettre la dernière main avec ses photos? Si VF est représentatif, le Mozambique attire plus de Français routards que motorisés. Je partage l'avis de Mars56 sur l'intérêt de la région de Gurué même si je trouve plus belles les plantations de thé du Malawi tout proche.
D’autre part la visite du Mozambique s’inscrivait pour moi dans un voyage de quatre mois en Afrique Australe : Tanzanie, Ouganda, Rwanda et j’ambitionnais, toujours aussi modestement, une comparaison entre les colonisations allemande, belge, britannique, voire française, en y ajoutant l’Afrique de l’Ouest que je connais.
C'est aussi une question qui me turlupine. Accepterais-tu de nous faire part de tes réflexions à ce sujet ? | | À: Voyajou · 12 juin 2020 à 10:07 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 33 de 51 · Page 2 de 3 · 382 affichages · Partager Bonjour Voyajou, Je ne suis pas une grande photographe. Matériel modeste et discret. Juste quelques témoignages.
Quotidien. Vu du bus. Lieu indéterminé
Île de Mozambique. Le pont
Vieille affiche défraîchie. Passage à gué. Île de Mozambique
Cours de géographie à l’école primaire de Imhabane
Maison de la culture de Beira. Entraînement...
Poste principale de Maputo
Nostalgie. Île de Mozambique
Maison de la culture. Beira
Amicalement, Virginie | | À: Voyajou · 12 juin 2020 à 12:58 · Modifié le 12 juin 2020 à 14:38 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 34 de 51 · Page 2 de 3 · 367 affichages · Partager Bonjour Jean-Luc
Avant de te répondre, je remercie tous les intervenants du post qui l'ont sorti de l'oubli.
« C’est un sujet dangereux qui porte à polémique » dit Virginie, je lui donne raison. Je n’ai pas la culture suffisante pour commencer ce débat, j’ai écrit « bien modestement ». Je préfère botter en touche.
Maintenant, à partir de l’observation, les musées et lorsque l’on parle la langue du pays, par la discussion, on arrive à comprendre un peu mieux la complexité du pays visité. Ceux qui voyagent dans ces pays voient ce que j’ai vu et peuvent faire un lien avec les pays colonisateurs. Ainsi au Rwanda, l’opposition Hutu et Tutsi, au moins en se tournant vers l’histoire, n’est pas aussi simple que le dit le pouvoir Tutsi, notamment sur le génocide. J’ai entendu des prêtres Hutus avancer des arguments sérieux qui l'expliquent, voire pardonnent, ce génocide. « C’est la vie », c’est la conséquence semblent dire ces prêtres, et la Belgique a sa part de responsabilité, comme au Congo.
Je prends l’exemple de la Namibie. De 1884 à 1920 la Namibie est une colonie allemande ; de 1920 à 1971 la Namibie est sous mandat sud-africain. Quand on suit la route du Botswana pour Windhoek, la route est en ligne droite et change de direction par angle droit... Sur le bas-côté des poteaux électriques, parfaitement alignés, portent trois fils électriques, telle une partition musicale. Voilà l’image d’ordre à l’allemande. De fait le pays est sécurisé, bien organisé, structuré, inimaginable dans l’Afrique francophone, où le système D domine... l’ordre domine en Namibie. Maintenant si l’on visite le musée de Windhoek, on comprend que les Allemands ont « totoché (1) gravement » la population locale, les Héréros de 1904 à 1908 (pour ne parler que d’eux). Aussi l’ordre qui domine en Namibie aujourd’hui, a-t-il pour origine la pédagogie allemande, prolongée par l’ordre blanc de l’ Afrique du Sud ?
La Namibie est visitée par les touristes Allemands. J’ai fait du camping pendant mon voyage en Namibie, et une auberge tenue par une Allemande vers Bullsport propose gites et camping. Cette auberge étant isolée, je réserve le repas du soir. La table est pleine d’Allemands, je suis très bien accueilli par eux, ils parlent peu le français et moi pas du tout l’allemand sauf « Ich danke dir sehr ». Je suis un peu la surprise de cette table. Pendant tout le repas je me sens mal à l’aise cependant, ne serait-ce que par le couvert et le menu : on commence par une soupe délicieuse dans laquelle on trempe des croûtons de pain grillé comme il faut, dans une vaisselle délicate, avec des hôtes d’une politesse exquise... Je me transporte, avec mon imagination, au bon temps de la colonie, avec des Allemands tout comme eux, bien comme il faut, qui pensent probablement faire œuvre de civilisation en Namibie, heureux de partager le repas. Je confesse ce ressenti, sans tenir rigueur à mes compagnons de table, sans que j’ai raison d’avoir eu cette pensée.
Par ailleurs, la Namibie est dans le top 4 des pays d’Afrique à visiter selon moi, pour sa population, sa capitale, ses plages, ses dunes de sable aux multiples couleurs, sa réserve d’animaux, son bush, son désert, son canyon, son offre de logements... Que de choses à voir dans une totale diversité.
Tu vois Jean-Luc que même partant de l'observation, dans un pays très agréable à visiter, le sujet peut devenir brûlant. Je n’ai pas la culture pour soutenir une telle discussion. Je suis désolé.
Maintenant, si toi, au contraire, tu as des informations, des faits, des idées sur ce thème, je serais heureux de te lire et d’apprendre.
Cordialement.
(1) Totocher est un verbe courant à la Réunion, il signifie corriger quelqu'un, de le frapper, de le battre. | | À: Voyajou · 12 juin 2020 à 15:38 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 35 de 51 · Page 2 de 3 · 349 affichages · Partager Bonjour Jean-Luc, Puisque le sujet de la colonisation est lancé, je vais y ajouter ma petite pierre. Je ne connais ni le Rwanda, ni la Namibie, mais je reviens du Mozambique. J’ai lu, comme je le signalais dans un autre message, le livre de Mia Couto, « les sables de l’empereur ». C’est une brique un peu longuette pleine d’intérêt. Nous sommes en 1895 et Ngungunyane, L’empereur de Gaza (sud du Mozambique) résiste aux colonisateurs portugais. Le cynique et cruel Mouzhino de Albuquerque, finit par le capturer et le monarque déchu sera exilé aux Açores, où il meurt, oublié de tous. Voilà l’histoire. Le romancier mêle les personnages historiques et de fiction, les faisant parler tour à tour. D’un côté des natifs appartenant à d’innombrables clans déchirés par un jeu d’alliances, de trahisons et de guerres destructrices, de l’autre des Portugais, militaires, administrateurs, prêtres, ayant en commun l’incompréhension totale des croyances et traditions des indigènes. De part et d’autre l’impossible dialogue, et la peur. Que reste-t-il de la colonisation portugaise quand on parcourt le Mozambique? Des vestiges architecturaux, la plupart dans un état lamentable. La langue portugaise, officielle, mais les dialectes locaux sont bien davantage parlés. Les noms de lieu, mais pas tous, Lourenço Marques est devenu Maputo...La religion, mais bien des traditions animistes subsistent. L’indépendance est tardive, elle date de 1975. Guerre d’indépendance, et puis guerre civile, et le pays peine à redémarrer. Quand on voyage routard, bus, chapas, qu’on loge dans les petits hôtels, on ne voit pas de Blancs. Pas un seul ou presque avant Maputo. La barrière de la langue rend le dialogue impossible, sauf pour les choses pratiques. Une rare rencontre avec un Mozambicain maîtrisant le français, appartenant à une classe privilégiée, a révélé un homme soucieux de donner une vision positive de son pays. Je ne peux donner un avis autorisé sur l’impact de la colonisation portugaise à l’heure actuelle. Si vous avez un avis, je serais heureuse de le lire..
Photos: - l’Empereur Ngungunyane, en captivité, avec ses femmes - la stèle commémorant la « glorieuse » capture de l’Empereur. Origine: fort de Maputo
| | À: Voyajou · 12 juin 2020 à 17:38 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 36 de 51 · Page 2 de 3 · 339 affichages · Partager Très intéressant et original compte-rendu à trois mains. Maintenant que Vigounir est sortie du bush, peut-être accepterait-elle de mettre la dernière main avec ses photos? Si VF est représentatif, le Mozambique attire plus de Français routards que motorisés. Je partage l'avis de Mars56 sur l'intérêt de la région de Gurué même si je trouve plus belles les plantations de thé du Malawi tout proche.
D’autre part la visite du Mozambique s’inscrivait pour moi dans un voyage de quatre mois en Afrique Australe : Tanzanie, Ouganda, Rwanda et j’ambitionnais, toujours aussi modestement, une comparaison entre les colonisations allemande, belge, britannique, voire française, en y ajoutant l’Afrique de l’Ouest que je connais.
C'est aussi une question qui me turlupine. Accepterais-tu de nous faire part de tes réflexions à ce sujet ?
Du point de vue du voyageur que j'étais j'ai trouvé que l'Afrique lusophone était vraiment à part (J'ai passé 2 semaines en Guinée-Bissau, 2 mois en Angola et 1 au nord du Mozambique lors de ma dernière Transafricaine). C'est difficile à décrire, des petites choses quotidiennes, comme une plus grande timidité dans les interactions quotidiennes avec les populations, une plus grande distance (bienveillante), moins d'exubérance, de bruit... La grande différence (qui est probablement quantifiable) est le métissage. Les colons portugais se sont beaucoup plus mariés (ou/et multipliés) avec les autochtones que leurs homologues anglais et français. A Luanda par exemple le nombre d'Angolais métis est impressionnant. | | À: ZJF · 12 juin 2020 à 18:26 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 37 de 51 · Page 2 de 3 · 326 affichages · Partager Merci pour ce compte-rendu que je trouve assez fidèle à ce que j'ai vécu dans ce pays. J'arrivais aussi de Tanzanie, par la côte (2013).
Je me suis autorisé le détour par la merveilleuse île d' Ibo, ravagée depuis par un cyclone. L'accès se fait en bateau :
La piste Nampula-Cuamba qui permet de rallier le Malawi est (était : les Chinois ont dû finir de la goudronner) merveilleuse, avec tous ces inselbergs plantés au milieu de la savane :
L. | | À: Levelo · 12 juin 2020 à 18:55 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 38 de 51 · Page 2 de 3 · 315 affichages · Partager Bonsoir, merci pour les photos. Ibo était bien entendu dans notre projet, mais les circonstances n’étaient pas les mêmes qu’en 2013... Je n’ai pas été consciente d’un important métissage au Mozambique. Par contre, lorsque vous parlez de bienveillance je suis d’accord, c’est un mot qui définit bien les Mozambicains. Amicalement | | À: ZJF · 12 juin 2020 à 19:05 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 39 de 51 · Page 2 de 3 · 312 affichages · Partager Je préfère botter en touche.
Alors un lien entre le football africain et l'ancien colonisateur? (Mise à part l' Afrique du Sud, pas une équipe au sud de l' équateur dans le top ten des équipes nationales)
Sérieusement, tu as raison, par les temps qui courent, c'est un coup à se faire déboulonner. Et la question est complexe, que ne sauraient éclairer les manichéismes en vogue. Comme vous deux, j'observe. Tu l'as constaté à Ponta do Ouro, un autre exemple frappant dans le coin: dès qu'on traverse la frontière entre le Zimbabwe (ex-colonie anglaise) et le Mozambique (ex-colonie portugaise) on a l'impression de passer d'un pays anglo-saxon à un pays latin. C'est très sensible également entre l' Afrique du Sud et le Lesotho (qui a tâté de la badine anglaise mais échappé à la férule afrikaner).
@Vigounir
À Ihla de Moçambique dont tu es nostalgique... Lorsqu'on attend les fonds de l'Unesco:
Lorsqu'on a les touristes:
@Levelo Tiens, quand on parle de routard... Un vélo, des vélos (ceux-là voyagent en autonomie: ils transportent leurs bûchettes pour le bivouac ).
La grande différence (qui est probablement quantifiable) est le métissage.
Un autre 'sujet dangereux qui porte à polémique' et que nous n'aborderons donc pas: le métissage e(s)t l'avenir de l'homme. | | À: Voyajou · 12 juin 2020 à 20:35 Re: Un mois au Mozambique: logistique et réflexions Message 40 de 51 · Page 2 de 3 · 291 affichages · Partager Bonsoir Jean-Luc, eh oui l’île de Mozambique est bien oubliée de l’UNESCO. Tout ce qui est restauré (souvent bien) est le travail des privés de l’hôtellerie, de luxe ou de demi luxe. Tout ou presque était fermé lors de notre passage. Atmosphère tranquille et propre à l’introspection.
Extérieur et intérieur
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