J'ai eu ce genre de problème au
Brésil il y a des gangs qui ont ce savoir faire.En
Malaisie idem tu me rappels le démantèlement d'un gang en région parisienne.Ils prenaient les infos des cartes en Asie et ensuite faisaient les doubles en région parsienne c'est expliqué.
Quand on retire faut s'éloigner des coins touristiques.On y pense pas toujours...
Là c'était à
Toulouse, ils ont un savoir faire dans le domaine.
www.page-crime.com/...te-bancaire/?lang=de
BORDEAUX, 15 fév 2010 (AFP) – Quatre Malaisiens, membres d'une organisation de type mafieux qui fabriquait et utilisait en
France des cartes bancaires
contrefaites, ont été interpellés à
Toulouse et placés en détention, a indiqué lundi le parquet de
Bordeaux.
Les policiers ont démantelé mercredi dernier un atelier de fabrication de fausses cartes bancaires et saisi 2.500 cartes, dont la plupart étaient vierges, a indiqué au cours d'une conférence de presse le vice-procureur de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de
Bordeaux Denis Chausserie-Laprée.
Les malfaiteurs utilisaient ensuite les cartes contrefaites pour des achats dans des "boutiques de luxe ou des grandes surfaces" du Sud de la
France, "de
Bordeaux à Cannes". Les produits étaient ensuite envoyés par colis en
Malaisie, a précisé le représentant de la JIRS.
A l'origine de ce dossier, les douaniers de Roissy avaient découvert en juin dans un colis contenant un trotteur pour bébé, 500 cartes vierges. Une
enquête judiciaire avait alors été ouverte pour "contrefaçons de cartes de paiement, escroqueries en bande organisée, association de malfaiteurs et recel
d'escroqueries" et confiée a un magistrat de la JIRS de
Bordeaux.
Un premier Malaisien d'origine chinoise avait été interpellé fin juin à
Toulouse alors qu'il venait de prendre livraison du colis.
Mercredi, les policiers du groupe +fausse monnaie et délinquance financière astucieuse+ de la police judiciaire de
Toulouse ont interpellé trois autres
Malaisiens sinophones, dont un homme de 35 ans soupçonné d'être l'organisateur en
France de ce réseau, a indiqué le directeur du SRPJ de
Toulouse Guy Sapata.’