Bonjour à tous,
Sans etre parano, je rappelle qu' une certaine prudence est à observer en
Equateur.
Les villes cotieres ne sont pas des plus sures ex.
Guayaquil.
Dans une discussion récemment ouverte, une personne pensait s'y rendre en fin de séjour.
Je confirme les réponses données:
Guayaquil n'a guère d'interet.
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Hélène Derouault, une jeune femme de 23 ans, originaire de Loré, dans l’Orne, a été tuée en
Équateur alors qu’elle s’y trouvait en voyage avec une amie d’enfance. Le drame aurait eu lieu la nuit du Nouvel an, dans la cité balnéaire d’
Atacames, au nord-ouest du pays.
Dans un article publié dimanche 10 janvier, le journal équatorien "La Hora" révèle que les parents de la jeune femme ont adressé un message à l'
Équateur dans lequel ils témoignent de l'amour de leur fille pour ce petit pays. "Hélène, toujours pleine de joie, transmettait l'amour et le partage tout au long de sa route", détaille le texte.
Jeudi, le quotidien avait annoncé l’interpellation d’un homme de 24 ans. Il aurait reconnu le meurtre d’Hélène et indiqué l’avoir "étranglée puis jetée dans la rivière déshabillée".
Effondrés, les parents d’Hélène
ont raconté à "Ouest France" que la jeune femme "effectuait un voyage itinérant avec une amie d’enfance depuis novembre 2014. Elles avaient commencé par l’
Espagne et venaient de passer six mois en
Colombie. Elles étaient en
Équateur depuis deux jours"
Grande confiance
Toujours selon les parents de la jeune femme, Hélène et son amie se sont perdues de vue le soir du Nouvel an. Inquiète, son amie a prévenu la police dès le lendemain. Le corps d'Hélène a été retrouvé le 3 janvier dans une rivière qui traverse la cité d’
Atacames.
"Les premières constatations laissaient penser à une noyade accidentelle. Mais des témoignages de proches ont orienté les enquêteurs vers un individu qu’elle aurait croisé", a expliqué Philippe Derouault à "Ouest
France".
Les parents de la jeune femme ont souligné la forte confiance qu’Hélène témoignait envers les personnes qu’elle rencontrait : "À chaque fois qu’elle nous téléphonait, c’était pour nous raconter qu’elle avait rencontré des personnes formidables partout..."
Le dossier de l’enquête a été confié au pôle criminel de
Caen.