Je pense que notre ami Memphre faisant référence ironiquement à ce qu'on nomme en anglais un
doggy bag (qui permet soi-disant d'emmener le trop servi chez soi « pour son chien », une pseudo-excuse pour ne pas dire qu'on mange les restes).
En
France cela est resté mal vu pendant longtemps mais les temps changent. Ainsi il a fallu attendre un paquet d'années pour pouvoir se faire servir un verre de vin au lieu de la bouteille complète, la tradition voulait qu'on laisse la bouteille pas finie (sans l'emporter).
Pareil pour les plats copieux.
Lors d'un voyage aux
Pays-bas dans les années 1980, je n'avais pas compris quand on m'avait proposé d'emporter le reste de
Nasi Goreng dans un restaurant indonésien, surpris de la proposition ; on a laissé la moitié du plat, on a regretté longtemps.