Grand film méritant amplement sa moisson de récompenses.
Des sujets universels (le divorce n'est pas la seule séparation du film), mais que l'on apprécie encore plus quand on connait un peu la Société iranienne.
Les 3 films de Fahradi que j'ai vus sont hantés par le mensonge. Une réalité bien présente en
Iran, car pour une bonne partie de la population, il y a séparation entre :
- la sphère privée où l'on vit comme on le souhaite,
- la sphère publique où l'on doit respecter les règles sociales et religieuses dictées par le Régime.
Souvent 2 vérités opposées qui doivent coexister dans un même esprit. De quoi rendre schizophrène si l'on ne recourt pas au mensonge.
A revoir sur Arte+7 depuis la
France (sans doute aussi l'
Allemagne) jusqu'au 12/02/2014 20h50.
Fabrice