"Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Goave · 3 juillet 2008 à 11:12 16 messages · 6 participants · 4 396 affichages | | | 3 juillet 2008 à 11:12 "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 1 de 16 · 4 323 affichages · Partager un homme a rendez-vous en pleine nuit avec un ami en proie chaque soir depuis deux ans au même cauchemard : 26 chiens enragés traversent la ville au pas de charge pour venir le dévorer.
"et tu m'as fait venir pour ça ?"
...
"tu n'as donc aucun souvenir ?" lui demande son ami.
"non".
cet homme sans passé, c'est ari folman, le réalisateur, qui se met lui-même en scène dans un film d'animation aux couleurs lavées, travail sur la mémoire, le traumatisme, la culpabilité.
suite à leur échange, ari se met brusquement à avoir des reminiscences d'une époque aux contours incertains, des flash-backs oniriques, où il se baigne devant beyrouth endormie. 20 ans plus tôt, à peine sorti de l'enfance, il partait au liban, pour livrer une guerre sans nom, arbitraire et cruelle, comme toutes les guerres.
soucieux de découvrir ce qui s'est vraiment passé, il tente de remonter le fil en rencontrant notamment d'anciens camarades de front. les récits s'emmêlent, se contredisent, se recoupent parfois. certains nient, d'autres enjolivent probablement. pour déboucher finalement sur les massacres des camps de sabra et chatila, épouvantable boucherie que tout le monde supputait, mais que personne n'a vue réellement.
la bonne excuse.
au-delà du fond même de "l'intrigue", la grande qualité esthétique du film est à souligner. parfois très clip, d'autre fois carrément hypnotique, l'image accroche et ne déçoit jamais. ralentis, accélérés, effets de répétition, musique entêtante, trouvailles visuelles... un sujet brûlant traité de façon organique.
après, si le réalisateur ne cherche pas à dédouaner les siens, il n'en reste pas moins que la charge contre le gouvernement israélien de l'époque reste soft ("c'est la faute aux phalangistes", "on ne savait pas"). le film laisse songeur sur les méthodes d'intimidation perpétrées contre l'ennemi, "terroriste" par essence, et révèle une nouvelle fois (!) l'inextricabilité du conflit israélo-palestinien.
maintenant, je serais curieuse d'avoir la réaction d'eversmile sur le sujet | | À: Goave · 14 octobre 2008 à 12:23 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 2 de 16 · 4 049 affichages · Partager Effectivement un bon film mais qui évite finalement de parler des responsabiltés.
Les alliés chrétiens d' Israël, lors de l'occupation du Liban étaient les phallangistes et les milices de Haddad. Les israéliens les ont armés, entraînés et payé.
Pour revenir à Sabra et Chatila, l'armée était posté au stade qui jouxte les camps. Elle y détenait et interrogeait des palestiniens. Cependant, après son revers dans les camps de Saïda au début de l'offensive, l'armée a sans doute refusé de rentrer ce coup-ci dans les camps de Beyrouth ouest. Ils ont envoyé leurs collaborateurs : les phallangistes et la milice de Haddad. Les israéliens ne pouvaient ignorer que cela mèneraient a un massacre. Les chrétiens on toujours été ennemis des palestiniens et là, en plus, le président Bechir Gemayel (chef des phallanges) venait d'être assassiné.
Les troupes de la millice de Haddad ont été remontées de leur territoires du sud Liban vers Beyrouth dans des avions israéliens à la veille des massacres (dans 2 avions hercule, les 16 septembre).
Sous les fusées éclairantes lancées par les israéliens, les chrétiens ont ainsi fait leur travail. Officiellement, nettoyer les camps de réfugiés palestiniens des "terroristes". En fait, la plupart des victimes étaient des femmes, des vieux, des enfants. Les femmes enceintes étaient éventrées, des hommes ont été retrouvés émasculés.
Les terroristes en question? Il s'agissait des combattants palestiniens. Déjà à l'époque, les ennemis étaient systématiquement nommés terroristes. Tout comme aujourd'hui en Irak, en Tchéchénie ou en Géorgie. Respectant leur accord, l'OLP d'Arafat avait quitté Beyrouth ouest en bateau ou par voie terrestre à destination de capitales arabes. En contrepartie, Israël s'était engagé à ne pas occuper Beyrouth Ouest et même à se retirer du Liban. La force internationale ( Italie, France, Etats Unis) s'était engagé à protéger les palestiniens des camps une fois leurs combattants partis. Mais la force n'est resté que 17 jours. Elle a assisté au départ des troupes de l'OLP et des troupes syriennes mais a abandonné les civils palestiniens.
Philipp Habib, diplomate américain et négociateur au Liban, reconnait qu'il avait personnellement signé un papier garantissant la sécurité des palestiniens à Beyrouth ouest...
Finalement, les milices chrétiennes sont rentrées dans les camps et, faute de combattants palestiniens, elles ont massacré des milliers de civils sans aucunes défenses, sous l'oeil des soldats israéliens, passifs. Le chef de l'armée au Liban était alors Ariel Sharon. Il a été un peu inquiété par une commission d'enquête israélienne sur les "évènements" des camps de Sabra et Chatila. Quelques milliers de morts, ce n'est qu'un évènement lorsqu'ils sont palestiniens, pas un massacre, pas un crime contre l'humanité.
Les femmes enceintes donneront vie à des terroristes. Leurs enfants naîtront terroristes (Phalangiste impliqué dans les massacres de Sabra et Chatila.)
Je voudrais les voir tous morts.... Je voudrais voir tous les palestiniens mort, parce qu'il répandent la maladie partout où ils passent. (Lieutenant israélien, le 14 Juin 1982, au début de l'occupation)
Nous savons, nous n'approuvons pas, nous n'intervenons pas (Commandant de bataillon israélien quand un lieutenant lui reporte ce qu'il voit se dérouler à Sabra et Chatila.)
Je vous invite à lire Liban, nation martyre de Robert Fisk (Ed. A & R). Les massacres de Sabra et Chatila sont traités Pages 407 à 449. | | À: Opai · 8 février 2009 à 15:48 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 3 de 16 · 3 720 affichages · Partager Je suis allée voir ce film hier soir. J'en suis sortie complètement choquée, c'est d'ailleurs la première fois de ma vie que je ressors aussi malmenée d'une séance de cinéma, notamment à cause des images d'archives à la fin. Pas tellement pour la dureté desdites images, mais parce que cela mettait une réalité sur des témoignages extrêmement précis que j'avais lu il y a de ça quelques années, sur les "fameux" massacres de Sabra et Chatila, pour la création d'une pièce de théâtre sur le conflit israëlo-palestinien.
Ensuite, contrairement à vous, j'aime la façon dont la responsabilité est éludée dans le film. Car c'est exactement de cette façon que sont perpétrées les pires atrocités: chacun-e se dédouane, obéit aux ordres mais ne participe jamais "vraiment" à ce qui est en train de se passer. Ce film, pour ma part, m'a complètement renvoyée à notre vie de tous les jours. Nous sommes tous, ou presque, comme les Israéliens de ce film, à savoir que nous savons ce qui se passe autour de nous, plus ou moins, mais nous continuons de faire ce qu'on nous dit, nous continuons d'avancer en évitant de trop regarder les choses en face. Et justement, le fait d'éluder la responsabilité, fait qu'elle rejaillit plus fortement encore, puisqu'on sort du film en se posant la question: "mais qui sont les coupables, finalement? Tsahal? Ariel Sharon? Les phalangistes? Les milliers d'Israéliens soldats à l'époque? Qui?" et c'est à mon sens bien plus intéressant de se poser cette question que d'en avoir une réponse noir sur blanc et toute cuite dans le bec.
Ensuite, il y a toute la réflexion sur le pouvoir de l'esprit humain "à oublier" les choses qui dérangent notre conscience, et pour ma part, ça me donne des éléments de réponse concernant les questions que je me pose sur les Israéliens d'aujourd'hui qui sont allés perpétrer un nouveau massacre à Gaza (sans parler des meurtres incessants de civils depuis des années). Comment se peut-il qu'ils en reviennent sans remords, sans remise en question, à part quelques rares personnes? Et cela nous interroge sur ce que nous aurions été, nous, dans une telle situation... qu'aurions-nous fait au final? Probablement la même chose, et c'est cela qui m'a terrifiée dans ce film, il nous met face à nos lâchetés, car tant que nous ne sommes pas sûrs de quelque chose, comment aller contre? | | À: Montagne666 · 8 février 2009 à 16:30 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 4 de 16 · 3 716 affichages · Partager Il est évident que les causes induisent les même effets. Si nous étions de jeunes israéliens, nous voudrions comme la plupart d'entre eux, exterminer les palestiniens. Et si nous étions à Gaza, nous voudrions très certainement combattre Israël.
Mais lorsque des crimes de guerre sont commis, il faut juger les faits et rechercher les responsables. Pour Sabra et Chatilla, pour Gaza, il n'en est rien. Car les morts ne valent rien, ce ne sont que des terroristes aux yeux de l'occident. A gaza, des bombes au phosphore ont été utilisées en violation des règles de la guerre. Il n'y aura probablement aucune conséquence. Il ne s'agit pas là d'émotions, de réflexions philosophiques, mais de justice, dépassionnée.
C'est clair que mis dans le même conditions, entendant la même propagande, nous ne nous comporterions pas mieux que les soldats israéliens ou les phallangistes libanais. Ce n'est pas pour autant une excuse.
Cela me fait penser à un texte sur les crimes des khmers rouges. David Chandler nous met en garde contre la chasse aux barbares. Nous sommes tous des monstres potentiels. Il suffit de créer les conditions pour le réveiller. Il ne suffit pas de focaliser sa haine sur celui qu'on désigne comme le Mal, mais il faut rester vigilant pour soi même.
Voici ce qu'il écrit en conclusion de son livre sur la prison S-21 où environ 20000 cambodgiens ont été torturés et tués :
"Les explications des phénomènes comme S-21 résident dans notre capacité à ordonner et à obéir, à nous souder contre les étrangers, à nous perdre au sein de groupes, à aspirer à la perfection et à l'approbation, et à décharger notre haine et notre confusion sur d'autres individus souvent sans défense, particulièrement lorsque nous y sommes encouragés par des gens que nous respectons. Pour trouver la source du mal mis en oeuvre chaque jour à S-21, nous ne devons finalement pas regarder plus loin que nous-mêmes. " | | À: Montagne666 · 8 février 2009 à 17:09 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 5 de 16 · 3 707 affichages · Partager salut Giula la pièce dont tu parles est celle de Jean Genet ? car il était sur les lieux et en est revenu bouleversé de qu'il a vu, il a décidé d'écrire une pièce. Pour comprendre qui sont les coupables, il remonter jusqu'à la création de cet état en 1948 sur les ruines fumantes des villages palestiniens rayés de la carte. Depuis cette date les massacres se sont perpétués. Eyal Sivan a réalisé un film sur l'endoctrinement des jeunes israéliens dès la maternelle. je t'ai donné le titre dans une autres discussion. concernant les derniers massacres de Gaza, l'Europe les Usa et certains pays arabes ont donné un blanc séing à Israël pour agir à sa guise. Une véritable faillite des institutions internationales à faire respecter le droit international. l'Onu encore à la ramasse dont Israël a violé chacune de ses résolutions. C'est là un vrai sujet d'inquiétude. devant le peu de réactions, la banalisation de l'horreur. le verrouillage de l'info par des médias serviles. demain à qui le tour ? | | À: Opai · 8 février 2009 à 18:15 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 6 de 16 · 3 699 affichages · Partager Bien vu Opai et les exemples sont nombreux Rwanda, Bosnie, Sierra Leone, Libéria....il y a une volonté de rechercher les responsables et de les juger. il y a reconnaissance des crimes pour Israël il n'en est rien. c'est le champion du "monde libre" et il peut agir en toute impunité protégé qu'il est par l'Europe et les Usa. | | À: Mékong · 10 février 2009 à 14:37 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 7 de 16 · 3 667 affichages · Partager A Mékong et Opai:
Oui vous avez totalement raison, et je suis entièrement d'accord avec vous. Mais pour ma part, je fais une différence entre la réalité avec ses injustices, ses crimes, etc... et un film que je vais voir. Pour moi ce film n'est pas là pour me dire qui est coupable ou non, c'est une base de réflexion, une émotion à une histoire que l'on me raconte, une instrospection. Un film n'est qu'une vision subjective d'un être humain sur un sujet donné, pas un manifeste politique, du moins c'est ainsi que je considère l'Art en général. L'Art peut être engagé, mais j'essaie de ne pas le mélanger avec mes considérations politiques (j'y arrive pas toujours ).
En parlant de Gaza, on s'éloigne du sujet du film et de ce qu'il raconte, à mon humble avis. | | À: Montagne666 · 11 février 2009 à 16:58 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 8 de 16 · 3 641 affichages · Partager J'ai vu ce film quand il est sorti au cinéma. Personnelement je n'ai pas été le voir pour voir un documentaire, pour savoir ce qui s'est vraiment apssé à Sabra et chatila, ni même pour avoir l'avis du réalisateur. J'ai été le voir pour sa qualité esthétique, et franchment je n'ai pas été déçue, certaines scène du film sont vraiment magnifiques d'un point de vue visuel, la musique y est aussi pour quelques chose, et c'est cette esthétique que je retiens du film plusieurs moi après. J'avoue avoir fermé les yeux à la fin du film au moment des images d'archives... Je préfère aller au cinéma pour m'évader plutot que pour être confronté à la réalité... | | À: Tokala · 11 février 2009 à 20:40 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 9 de 16 · 3 632 affichages · Partager bonjour
juste une question saviez vous ce qu'était Sabra et Chatila avant de voir ce film ? | | À: Mékong · 12 février 2009 à 9:19 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 10 de 16 · 3 622 affichages · Partager Bonjour, Oui je le savais. Ce que je voulais dire par mon message, c'est que ce qui m'a poussé à voir le film n'est pas le sujet, mais l'approche esthétique que j'avais ressenti en voyant l'afiche et la bande annonce. | | À: Tokala · 12 février 2009 à 11:10 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 11 de 16 · 3 582 affichages · Partager L'art, l'esthétique n'est pas fait pour divertir. En aucun cas. C'est fait pour sublimer des expériences, ou des névroses, les fantasmes. L'art est fait pour exprimer la vie. Et la vie, à moins d'être un bisounours, ça n'est pas toujours joli et doux et divertissant!
Ca me semble étrange de dissocié ainsi la beauté du graphisme et le sujet. Dans toute oeuvre d'art, le fond et la forme ont une place égale.
Je n'ai pas vu ce film comme un documentaire. Il était effectivement très beau. Mais c'est ne pas regarder l'oeuvre dans son entier, que de fermer les yeux à la fin du film. Si le réalisateur a choisi de mettre ce images, c'est qu'elles avaient une place dans son ensemble. C'est comme de cacher un morceau de tableau avec un voile noir! Ou arracher des page dans un livre.
C'est bizarre, de faire ainsi l'autruche. De détourner les yeux. Malheureusement, tout le monde fait ça, plus ou moins. Que ce soit en Pologne, dans les villages autour d'Auschwitz, ou ailleurs...
N'est-ce pas un peu manquer de respect aux victimes, que de ne même pas vouloir voir ou être mis au courant de leur calvaire? | | À: Opai · 13 février 2009 à 10:27 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 12 de 16 · 3 552 affichages · Partager C'est bizarre, de faire ainsi l'autruche. De détourner les yeux.
Bizarre ? N'y aurait-il qu'une seule bonne manière de réagir, alors ? Ca peut paraître aussi bizarre (voire même inquiétant), de ne jamais détourner les yeux devant l'horreur !
N'est-ce pas un peu manquer de respect aux victimes, que de ne même pas vouloir voir ou être mis au courant de leur calvaire?
D'accord pour ne pas vouloir s'informer. Mais voir... c'est autre chose. Et ne vois là rien de personnel, mais voilà bien une réflexion d'homme ! Ces hommes qui, en tant que spectateurs, affrontent sans ciller les images d'atrocités infligées par d'autres hommes, justement, qui, en tant qu'acteurs cette fois, ne bronchent pas d'avantage devant la réalité des horreurs qu'ils commettent !! Acteurs et spectateurs, chacun de leur côté d'un même acte, pensent avoir des raisons légitimes d'agir ou de réagir comme ils le font, sans s'encombrer de sensiblerie, mais ne se pourrait-il pas qu'ils aient tous tort ?
Irrespectueux ? Certaines images sont insoutenables, ça veut bien dire ce que ça veut dire. Détourner les yeux et ne pas les soutenir c'est peut-être lâche, oui, mais ça peut être aussi dire "Je ne cautionne pas", ou bien juste faire preuve d'humanité, et de respect, par conséquent... quoique... je commence à douter sérieusement de ma définition de l'humanité en tant que qualité.
Anne | | À: Colorianne · 13 février 2009 à 18:11 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 13 de 16 · 3 523 affichages · Partager Merci Colorianne d'avoir répondu, je n'avais pas encore eu le temps, et je suis tout à fait d'accord avec toi.
D'ailleurs quand Opai dit "L'art, l'esthétique n'est pas fait pour divertir", je ne suis vraiment pas d'accord. Comme quoi chacun voit les choses différemment... Personnellement, pour moi l'art, quelqu'il soit (peinture, musique, cinéma, litérature...) me permet de m'évader, de m'échapper... Bref, de me divertir, de me changer les idées. Donc partant de là, on comprendra plus pourquoi j'ai été voir ce film prinpalement pour son côté esthétique.
Mais tout cela ne m'empeche pas de m'informer sur ce qui se passe dans le monde, je préfère seulement aller au cinéma pour d'autres raisons. | | À: Tokala · 13 février 2009 à 18:50 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 14 de 16 · 3 518 affichages · Partager De rien. En ce qui concerne l'art, je pense que vous ne parlez pas de la même chose : opai parle de sa finalité (sublimer les expériences, exprimer la vie), et toi d'un de ses corolaires, à savoir le divertissement. | | À: Colorianne · 13 février 2009 à 19:43 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 15 de 16 · 3 510 affichages · Partager En effet, c'est pour ça que nous n'avaons pas le même point de vue avec Opai... Bonne soirée | | À: Mékong · 20 février 2009 à 18:13 Re: "Valse avec Bachir" (film d'animation israélien) Message 16 de 16 · 3 427 affichages · Partager Pour te répondre sur ta question: non la pièce dont je parle n'est pas celle de Jean Genet, bien que nous en ayons utilisé des extraits. C'est une pièce "écrite" de toute pièces en atelier, à partir de différentes supports: flash infos, extraits de pièce, extraits de témoignages, poèmes... | Discussions similaires sur Israël: Heure du site: 2:21 (23/09/2024) Tous les droits réservés © 2024 MyAtlas Group | 308 visiteurs en ligne depuis une heure! |