Mercredi 13 août 2014 : Epcot
Ce matin, réveil à 6h45
et petit-déjeuner au Stone Harbour Lounge. Il y a un choix assez varié : fruits, céréales, viennoiseries, fromages et bien sûr, boissons chaudes et froides. En revanche, il n’y a pas beaucoup de tables et c’est vite plein
. Certains repartent avec leurs assiettes et leurs tasses dans leur chambre...
A 8h, nous voilà partis à pieds pour Epcot, côté International Gateway (il y a deux entrées). Nous y arrivons rapidement, mais le parc n’ouvre qu’à 9h. J’espérais que l’ouverture serait un peu avancée, il n’en est rien
.
Des familles arrivent au fur et à mesure.
C'est seulement à 8h55, qu’enfin, nous pouvons passer le contrôle des sacs et entrer dans le parc. Certains se mettent à courir
...
(le pavillon de l'
Angleterre côté International Gateway)
Nous nous dirigeons vers TestTrack, en tête de liste dans ma programmation serrée (merci les «
Cheat Sheets » du site EasyWDW
).
Malgré cette organisation au top
, nous nous trompons de direction (le parc est en travaux et certaines allées sont fermées) et perdons dix précieuses minutes. Quand nous arrivons enfin à Test Track, il y a déjà 30 minutes d’attente
: je les soupçonne d’avoir ouvert l’autre entrée du parc avant
(oui, le stress me rend un peu paranoïaque...).
Après Test Track, bruyamment sponsorisé par Chevrolet (attention à l’accélération finale qui décoiffe au sens propre comme au sens figuré
), ce sera Sum of All Thrill (à nouveau 30 mn de queue), sorte de Danse avec les robots (pour ceux qui connaissent le Futuroscope) en plus agité
(on dessine soi-même son parcours).
On enchaîne avec The Seas with Nemo and Friends (seulement 10 mn d’attente),
où on se promène tranquillou dans des coquilles Saint Jacques (si, si
) pendant que des personnages du film s’animent et causent sur écran : au frais et reposant.
(le monorail qui relie parcs et hôtels)
(un petit intermède musical)
Puis, c’est le moment d’utiliser notre premier « Fastpass plus », réservé 60 jours à l’avance sur le site de WDW (si c’est pas de l’anticipation ça..
), pour faire Soarin, où il ya 85 minutes d’attente
.
C’est un voyage au-dessus de la
Californie vraiment réussi : on se croirait sur une aile volante avec les pieds qui ne touchent pas terre, le vent dans les cheveux et de délicats parfums d’oranger. Les paysages sont magnifiques : à faire absolument
.
Après ça, c’est l’heure de la pause déjeuner au Sunshine Seasons, juste à côté : bon et copieux.
On repart pour une rencontre avec Minnie, Mickey et Dingo (on ne se moque pas...
), puis Spaceshipearth, l’attraction située dans la boule qui est le symbole du Parc,
et où l’on voyage à travers l’histoire des communications (commentaires en français s’il vous plait
) dans un petit train qui monte au sommet de la boule avant de redescendre à toute vitesse : sympathique.
Reste notre dernier Fastpass plus, pour Mission Space. On choisit « orange », la version musclée de l’attraction parce que, quand même, on n’a peur de rien
. Après moults avertissements qui nous feraient presque douter de notre choix
, nous finissons par monter dans notre fusée (eh oui), destination Mars...où nous atterrissons comme des pros, à 3 millimètres du précipice
, avec les félicitations chaleureuses de la Base : ouf, on l’a échappé belle...
La fatigue se faisant sentir (ce parc est vraiment immense), nous prenons le chemin du retour à l’hôtel, non sans un petit arrêt au « Club Cool »,
où l’on déguste gracieusement des Coca-Cola
venus de tous les pays, aux goûts aussi étranges que variés.
Nous passons devant le pavillon du
Canada.
Monsieur veut absolument voir le film "O
Canada" malgré les protestations unanimes de la troupe, nous irons donc voir le film O
Canada, qui se termine par une chanson moitié en anglais – moitié en français, et même pas chantée par Céline Dion
.
Une photo d’Alice en passant devant l’
Angleterre
une autre photo de la méchante sœur de Cendrillon
et retour à l’hôtel.
En apercevant le lounge, à peu près désert, on se dit qu’on a un petit creux et qu’on a bien mérité une pause cookies et boissons
. Puis, on enfile les maillots, direction la piscine, histoire de se rafraîchir.
A 18h30, nous sommes de nouveau prêts à attaquer la soirée
,
(sur le chemin d'Epcot)
avec une réservation au pavillon norvégien,
à l’Akershus Royal Banquet (tout un programme
)
où nous dînons avec les princesses
: les garçons sont ravis...et les filles aussi, enfin ceux et celles qui ont gardé leur âme d’enfant
.
Pour la modique somme de 48$ HT
, on a droit à une photo avec Belle
, un buffet d’entrées norvégiennes (razzia sur le saumon fumé), un plat au choix et trois desserts à partager, plus boissons sans alcool à volonté. C’est plutôt bon et on voit apparaître, dans l’ordre alphabétique : Ariel, Aurore, Blanche-Neige et Mulan
.
Après ce copieux repas, nous rentrons à l’hôtel doucement, en explorant les pavillons des pays du World Showcase :
Mexique,
Chine,
Allemagne,
Etats-Unis,
Japon,
Maroc,
Italie...sans oublier la
France
...un quasi tour du monde pour une poignée de dollars
.
On assiste aussi au début du spectacle pyrotechnique « Reflexion of Earth »
mais on est trop fatigués pour rester jusqu’à la fin et nous rentrons nous coucher.
Demain, on remet ça à Animal Kingdom : c’est la magie
Disney...