Une des solutions consiste à emmener un traitement choc de malarone : en cas de symptômes du palu, tu en prends une dose de cheval pendant 3 jours, et ça t'évite d'avoir le palu à vie.
Mouais, attention quand même, l'automédication est réservée aux cas où il n'y a aucun moyen d'avoir accès à un service médical, et uniquement en s'étant fait expliquer auparavant par un médecin la posologie à respecter...
Si on peut consulter sur place, il vaut toujours mieux !
J'applique la même stratégie en voyage (pas de traitement préventif, mais un petit stock de malarone au cas où) sur les conseils d'un médecin du voyage, mais ce dernier m'a bien précisé qu'il fallait impérativement, à moins d'être à des jours de voyage de l'hopital le plus proche, consulter pour confirmer le diagnostic par le test de la goutte épaisse...
et puis ce qui est valable pour une zone ne l'est pas pour une autre, il y a plusieurs variétés de paludisme et elle ne répondent pas toutes au même traitement, et il existe des zones où on observe une résistance à certaines molécules...
Donc attention avec l'automédication !