Bonjour,
je ne vais pas parler du
Ladakh, mais de la première partie de ce parcours à vélo :
en mai-juin, la mousson n'est pas encore arrivée dans le nord de l'
Inde, et il faudra subir des températures caniculaires.
Voici un journal du 2 juin 2019
ICI (ou sa traduction automatique Google
ICI.)
L'autre difficulté à surmonter sera la densité de circulation sur l'autoroute
Delhi-
Chandigarh. Je ne pense pas qu'il y ait la solution d'une route parallèle, car c'est la route directe qui a peu à peu été transformée en autoroute.
Il faut aussi tenir compte des habitudes de conduite indiennes. C'est le véhicule le plus gros qui est prioritaire, et en cas d'égalité de grosseur
, c'est celui qui aura le klaxon le plus puissant qui passera devant. La place d'un vélo dans le trafic ne compte pas.
La réalité n'est pas très éloignée de cette caricature !
Après
Chandigarh, la suite de la route pour
Manali deviendra vite plus montagneuse, un peu moins saturée, mais avec un gros trafic de poids lourds dégageant d'énormes nuages de fumée noire dans les côtes.
Ensuite, la route
Manali-
Leh avec ses cols à plus de 5000 m sera une promenade de santé comparée au parcours dans la plaine.
Ce n'est pas une raison pour se décourager, mais pour savoir à quoi s'attendre et se motiver en conséquence, pour y trouver du plaisir !
!