Jour 5 – Mardi 19 mai
Ce matin, le réveil est beaucoup plus facile! Enfin, on est parti!! Nous finalisons nos bagages, saluons quelques une de nos hôtes, puis partons pour la gare. Pour faciliter les choses, nous prenons un taxi. Le taxi nous a déposé à Termini, mais nous ne trouvions pas d’accès à la gare, nous ne voyons que des commerces. Nous aurions dû lui demander la direction à prendre... En effet, un peu plus loin, nous entrons par une porte qui nous semblait prometteuse. Un homme nous aborde pour nous indiquer le chemin, mais il semblait assez mêlé, alors on s’éloigne assez vite. Juste après, un jeune garçon tout souriant vient nous offrir son aide. Il nous pointe les panneaux indicateurs, puis nous amène devant une grande feuille jaune où les trains sont indiqués. Il nous montre que notre train doit partir de la plateforme 6. N’ayant jamais utilisé de transport en commun (ou presque), on se fie sur lui, il a l’air tellement serviable. Il nous indique alors une direction. On le remercie et on lui dit qu’on sera correct. Mais il nous suit. On se dit que s’il a envie de nous suivre, il a bien beau, après tout, comment l’en empêcher. On suit alors les pancartes sur la voie qu’il nous a indiquée vers le quai #6. Arrivés au bout d’un très long couloir, on s’engage dans un escalier pour passer sous les rails et on arrive à l’ouverture qui donne sur le quai #6. Mais là, un 2e jeune homme a rejoint le premier et il a l’air bien moins sympathique. Le premier nous indique alors que nous devons lui donner 5 euros pour le service qu’il nous a rendu. Ne voulant pas de problème, on lui donne (on s’était bien dit en chemin qu’il nous demanderait quelque chose même si on a essayé à plusieurs reprises de s’en débarrasser, mais on trouve que 5 euros c’est quand même exagéré). Une fois donné l’argent, il nous pointe tous les 2 et nous fait comprendre 5 par personne. Il finit par dire qu’on est 4 donc on doit lui donner 10 euros à lui et 10 euros à son copain. Le problème, c’est qu’il nous avait finalement indiqué une extrémité de la gare où il n’y a pas un chat, donc nous sommes seuls avec nos 3 enfants et 2 bums qui nous demandent de l’argent. J’ai finalement négocié 15 euros total (je ne sais toujours pas si ça a été vraiment intelligent de négocier avec ce genre de personnes!) et ils s’en sont allés. On monte alors l’escalier pour atteindre le quai #6. Un train est en train de quitter, on s’installe alors sur un banc, nous sommes d’avance. Mais plus le temps passe, et plus on trouve suspect d’être seuls. On va donc s’informer pour se faire dire que notre train part du quai #9! Et en plus, en examinant la configuration de la gare, on se rend compte qu’on devait être tout près de l’accès principal lorsque le garçon nous a abordés et qu’il nous a fait traverser tout Termini au complet avec nos bagages et nos enfants pour nous escroquer! On a aussi appris par un employé de la gare, que la version papier n’est qu’indicative et qu’il faut vraiment ne regarder que les écrans. (Pourquoi mettre les # de quais sur la version papier alors? Il ne pourrait qu’y avoir les horaires!) Finalement, on attrape notre train de justesse quand nous avions de l’avance! Nous sommes trop habitués à croiser des gens serviables, mais ce fut une bonne leçon pour le reste de notre séjour en
Italie.
En arrivant à
Naples, nous pensions prendre le métro pour se rendre à l’appartement que nous avions loué. Mais suite à l’expérience que nous venions de vivre et puisqu’il y a plus de commentaires négatifs sur
Naples que sur
Rome sur les forums, nous avons décidé de prendre un taxi. Nous n’avons pas regretté notre choix car ça nous a permis de circuler en voiture dans
Naples. Notre appartement était situé sur via
Toledo, une rue piétonne entourée d’une tonne de petites ruelles. En arrivant au tronçon piétonnier de via
Toledo, il y a une manifestation qui empêche le taxi de s’y aventurer (c’est une rue piétonne oui, mais de temps de temps des véhicules y passent quand même). C’est là que le fun commence. Le chauffeur est insulté et il s’engouffre dans un dédale de petites ruelles où il négocie les coins serrés, recule, avance, recule encore, se colle sur le côté pour laisser passer des motocyclettes. À un endroit même, il sort de sa voiture pour s’engueuler avec une femme qui s’était stationnée, et qui donc barrait le chemin. C’était digne des poursuites qu’on peut voir dans certains films. On a adoré. Nous rions pendant que le chauffeur était de plus en plus exaspéré des détours qu’il devait prendre pour nous mener à bon terme. En arrivant, je viens pour prendre nos bagages et me dit de le laisser faire. Après notre aventure de
Rome, un peu de galanterie ça fait du bien! Et une chance que le tarif avait été donné d’avance car avec tous les détours qu’on a faits, ça nous aurait coûté une beurrée!
Notre hôte nous attends à la porte, il est étonné que nous arrivions en taxi, mais nous n’avons pas le goût de nous expliquer! Il nous fait monter au dernier étage (ça prend 2 voyages d’ascenseur vu la grosseur de celui-ci, mais aucune plainte à ce sujet, c’est mieux que de monter à pied chargés comme nous sommes!). L’appartement est très bien, et il a en plus 2 superbes terrasses avec tables, chaises et fleurs et une vue sur la ville. Il nous explique tout, nous lui posons quelques questions sur la ville et ce que nous pensons faire. Puisqu’il a des enfants en bas âge aussi, il nous indique sur une carte des parcs et un resto pour eux. Il nous quitte, on s’installe un peu et on part marcher dans les petites rues pour faire une petite épicerie aux endroits qu’il nous a indiqués. On décide ensuite d’explorer plus loin et de se rendre au port pour voir où nous pourrions prendre le bateau pour une île (on n’a toujours pas décidé quelle on ferait, mais notre hôte nous a dit qu’il y a des plages pour les enfants sur les 3, mais que celle de
Capri est plus facilement accessible et que ça serait son 1er choix. Il dit que pour
Ischia, une journée c’est un peu court, surtout que les plus belles plages sont de l’autre côté de l’île. Pour
Procida, je ne me souviens plus de ses commentaires, mais ça ne semblait pas être un bon choix pour aller à la plage avec les enfants. Il a aussi dit de ne pas aller sur les îles un samedi puisqu’il y a plus de monde). On passe par la Piazza Plebiscito, elle est vraiment grande. Nous passons aussi près d’un petit parc de manèges que notre hôte nous a indiqué et on s’y arrête au grand plaisir des enfants. On voulait aller au restaurant que notre hôte nous a indiqué, mais nous arrivons trop tôt. Nous sommes habitués aux restaurants ouverts à toute heure du
Québec et non que le souper ne commence qu’à partir de 19h.
Jour 6 – Mercredi 20 mai
N’étant pas décidés pour une île, on part pour
Pompéi. On prend donc le métro qui est tout près pour se rendre à la gare et prendre le Circumvesuviana. En entrant, il n’y a pas de places assises, mais ça se vide peu à peu. On débarque à la station de
Pompei Scarvi. On entre sur le site, on se trouve une roche à l’ombre pour prendre une collation (il fait très chaud aujourd’hui) pour redonner de l’énergie aux troupes. Bébé est en portage, on a laissé la poussette à l’appartement et c’était certainement une bonne décision. J’essaie de me repérer avec la carte mais je ne trouve pas ça évident. On avance encore un peu, et là, rendu au forum, c’est plus facile de se retrouver et pour le reste ça ira bien. La vue est superbe vers le fond du forum avec le
Vésuve en arrière-plan. On part explorer, les enfants courent dans la moindre petite maison, ils adorent explorer. Le sol est jonché de petits cailloux et grande fille finit par glisser et se faire mal. Ça la refroidit un peu pour la suite. Elle se fatigue vite aussi, et on finit par repartir trop vite à mon goût et celui de grand garçon. Mon principal regret a été de ne pas avoir vu les gens en plâtre ni les maisons mieux conservées comme celle du Faune. Pour ce qui est des gens en plâtre, ils ne sont pas indiqués sur la carte, donc je conseillerais à ceux qui sont limités en temps de marche comme nous de s’informer dans quel quartier les trouver. On a quand même visité le forum, les thermes, les 2 théâtres et leurs quartiers, mais ce n’est qu’une infime partie du site.
En sortant, on s’arrête dans un restaurant où on mange très bien. Le décor est superbe : il y a tout plein de variétés de citronniers qui viennent des 4 coins de la planète. Les enfants adorent. On revient vers l’appartement. On s’y repose un peu et on va marcher un peu dans les rues de
Naples. Encore une fois, on essaie le resto pour les familles. Ce soir il est ouvert, mais il y a une fête privée, donc les enfants n’auront pas accès à la salle de jeux. On apprend que ce sera pareil demain, mais que vendredi ça devrait être bon. Le temps qu’on apprenne tout ça, il est tard, on retourne souper à l’appartement. On se prend en chemin quelques pointes de pizzas et une spécialité de
Naples : un assortiment de poissons et fruits de mers frits accompagnés de boules frites de toutes sortes : riz, pâtes, pain, etc. C’est bon, mais ce n’est pas un coup de cœur puisqu’on aime moins certaines des bouchées. On aurait pu prendre une seule portion (qui vient dans un cornet de carton) pour la famille mais nous sommes contents d’y avoir goûté.
Jour 7 – Jeudi 21 mai
Nous avions vraiment envie d’aller sur le
Vésuve, mais après réflexion, on a décidé d’opter pour le cratère du Solfatara et on a été bien contents de notre choix. Accès facile, pour nous 2 arrêts de métro avec la ligne 1 puis on prend le métro de la ligne 2. C’était spécial car le métro sortait de terre pour devenir un train. Arrêt à Pozzuoli. En sortant, on voit la pancarte qui indique la direction, mais il n’y a rien sur la distance à parcourir et nous n’avions rien trouvé de clair sur le net. On se dirige donc vers l’information touristique et on finit par tourner en rond (elle est fermée par manque d’employés). On finit par retourner à la gare où on s’informe à un chauffeur de taxi. Finalement on décide d’embarquer. Ce n’est pas trop loin, il me semble qu’il nous a chargé 10 euros. On l’a fait à pied au retour, ça descendait tout le long. On marche déjà beaucoup, c’était bien de faire l’aller en auto puisque ça montait. Avec des enfants un tantinet plus vieux, ça aurait été ridicule toutefois! Le volcan est annexé à un camping, on en profite pour aller aux toilettes qui ne donnent sûrement pas le goût de séjourner là! Puis la visite du volcan. On y est entré par la sortie pour éviter de retourner à l’entrée du site. Le cratère est très large. Le sol est chaud, l’odeur épouvantable, il y a des fumerolles dont une plus grosses entourée de roches sulfureuses et il y a des trous de boue bouillante (à 140 degrés). C’était vraiment impressionnant. Tout le monde a adoré. Les enfants grimpaient sur les rochers, couraient partout. Il y a un ancien sauna, on n’a pu imaginer que quelqu’un allait là de plein gré! Vers la fin, bébé s’est mise à tousser tout plein sans arrêt; c’était le temps de partir. En sortant (qui est l’entrée), un beau sentier bordé d’arbres, de fleurs, de cactus, on ne peut concevoir que juste à côté il y a un milieu hostile.
À notre retour, on va essayer une pizza dans une des plus vieilles pizzerias de
Naples. Le four à pizza était superbe. On voyait le cuisinier préparer les pizzas, c’était beau de le voir travailler la pâte.
Jour 8 – Vendredi 22 mai
Finalement, on a pris la décision de laisser tomber la plage pour les enfants. Premièrement, il ne fait pas si chaud (à part la journée à
Pompéi), il a même plu le mercredi. On trouve que ce serait dommage de sauter autre chose pour aller sur une plage, ce qu’on peut trouver près de chez nous même si ce n’est pas la Méditerranée. De plus, pour
Capri qu’on aurait finalement choisi, les prix sur internet donnaient autour de 100 euros pour le transport en bateau. Notre hôte nous a dit que les enfants ne paient pas, mais ce n’était pas ce qui était inscrit sur internet. Notre hôte nous avait indiqué des plages à
Naples (je pourrai envoyer tout ce qu’il nous a suggéré si qqn est intéressé), mais on a finalement décidé qu’on irait juste si la température se réchaufferait et que ça adonnerait avec les autres trucs qu’on priorisait. Pour ma part, je tenais à la
côte amalfitaine, alors go! Après revérifications sur les forums, on opte pour se rendre à la gare et y prendre un train trenitalia pour
Salerno, environ 1h. En sortant du train, une petite fille d’environ 10 ans donne la main à notre fille le temps de quelques marches et arrivé en bas, elle nous suit en nous demandant un billet de train. C’est vraiment fou à quel point certaines personnes ne connaissent pas la simple gentillesse. C’est triste de voir ça chez une enfant. Il nous est arrivé plusieurs fois ce genre de chose dans les gares, mais les autres fois c’était des adultes.
Là-bas, on trouve le quai pour le bateau pour
Amalfi. On a un temps d’attente entre les 2, juste assez pour un gelato. Mon chum en profite pour aussi prendre un espresso. Il a beaucoup aimé prendre des cafés ici et là. Je conseillerais d’arriver un peu d’avance pour le bateau pour pouvoir s’asseoir en haut si vous en avez envie. Nous étions assis à l’avant. Les enfants ont adoré le tour de bateau. Bébé a vraiment trippé. Depuis le début, elle se laisse surtout porter par le courant, mais là ça lui a plu et à partir de ce moment, elle a démontré beaucoup plus d’intérêt pour tout ce qu’on a vu/fait. Le décor est superbe. Je comprends tous les commentaires qui conseillent de faire le trajet en bateau plutôt qu’en bus. À
Amalfi, on est impressionné par la clarté et la couleur de la mer. On avait vu des photos, mais en vrai c’est pas pareil! À
Salerno, on voyait des poissons dans l’eau. On marche un peu sur la promenade qui longe la mer, puis on s’engouffre dans les « passages secrets », des toutes petites ruelles, souvent couvertes. Les enfants ont couru dans tous ces passages. Pas évident toutefois avec la poussette car beaucoup d’escaliers. On finit par déboucher sur une rue. On se cherche un resto. On finit par redescendre et on en choisit un. Par hasard, c’est un couple de Québécois à côté de nous, ça fait du bien de parler en français! Ils nous apprennent qu’on peut visiter la « fabrique » de citron en fin d’après-midi, mais il sera trop tard pour nous. Avec tout le transport pour venir jusqu’ici, on ne passe qu’un petit 3h à
Amalfi. On aurait pu revenir avec un bateau plus tard, mais on est vendredi et les enfants tiennent au resto spécial pour eux même si on ne sait pas encore s’il vaudra la peine. Avec le bateau, on avait le choix d’aller jusqu’à
Positano, je crois que ça aurait été trop de bateau pour nos enfants. Pour une seule journée,
Amalfi était un bon choix.
On revient donc à l’appartement de la même façon qu’on est allé à
Amalfi. Ce soir, le resto pour enfants. C’est le « Il Peperoncino Birichino ». On entre, on s’assoit à la table et on choisit ce qu’on veut dans le menu. Quand on leur dit ce que les enfants prendront, ils nous expliquent le concept : Les enfants vont manger au sous-sol dans la salle de jeux avec Roberta. Oh! On va donc voir avec eux : une belle grande salle de jeux, des petites tables à la taille des enfants, un module pour grimper et glisser avec une piscine à balle, un panier de basket, une télé, des jeux vidéo, le tout dans un décor pour enfants. Roberta a l’air très gentil. Elle ne parle qu’Italien, baragouine quelques mots d’anglais et de français. On repart souper avec bébé seulement. Wow, que ça fait du bien! Papa, qui n’était pas descendu au début, va voir si tout va bien un peu plus tard, surtout parce qu’il est curieux. Un peu avant de partir, on descend avec bébé pour la laisser jouer un peu. On constate que Roberta est vraiment à sa place, elle est géniale avec les enfants, même sans parler la même langue, ils ont tous connecté. Grand garçon a tellement pleuré en soirée parce qu’il ne reverrait pas Roberta! Ça nous prend des restos comme ça au
Québec!
Jour 9 – Samedi 23 mai
Pour notre dernière journée à
Naples, on se dirige vers Herculaneum. Malheureusement, la ligne 1 est fermée à cause d’un bris. On finit donc par trouver un bus qui nous amène à la gare. C’est la première fois qu’on se fait aider par gentillesse, ça fait du bien! En arrivant sur le quai du Circumvesuviana, on tombe par hasard sur mes 2 oncles et ma tante qui s’en vont à
Pompei! On logeait environ en même temps à
Naples, mais nos horaires différents ne nous avaient pas permis de se croiser. C’est une belle surprise. On échange un peu, le train arrive. Il était déjà bien rempli et il y avait un tas de monde sur le quai aussi. On y entre tassés comme des sardines. On a peine à lever un bras tellement on est coincé. Le paradis pour les pick pockets. Leur truc : ils entrent, fouillent dans quelques sacs et poches et ressortent. On est tellement coincé qu’on ne se rend pas compte. Des gens autour de nous se sont fait fouillé, mais pas de vol apparemment. On se retrouve avec d’autre Québécois, on partage nos expériences. Au revoir, on débarque à Ercolano Scavi. Le site est assez loin de la gare. Ça descend, il faudra donc une longue remontée après toute la visite. Cette fois on a amené la poussette, mais ce n’est pas l’idéal sur le site. Herculaneum est très bien conservée. Mon grand trippe sur les mosaïques, elles sont vraiment belles en effet. Les enfants ont aussi beaucoup aimé faire à manger dans les restaurants de la cité. On a eu beaucoup de plaisir à visiter cette ville. C’est beaucoup plus petit que
Pompéi, mais on n’a quand même pas fait le tour complet. Il nous manque la partie plus basse, mais qu’on a aperçue à partir de la promenade qui nous mène à l’entrée. On arrête manger dans un resto près de la gare, c’était très ordinaire. On revient à
Naples. On pensait aller visiter le Castel Sant’Elmo, mais avec la ligne 1 qui ne marche toujours pas, c’est trop compliqué puisqu’on n’est pas informé sur les autobus. Déjà de revenir à l’appartement ça a été très long. On n’avait plus accès au logement, mais on y avait laissé nos bagages pour la journée dans un placard. On va faire un tour pour trouver un bus près et on revient chercher nos bagages pour se rendre à la gare. On est d’avance, mais on en profite pour souper (au McDo, il n’y a pas grand-chose d’autre dans le coin où on est) et on relaxe avec des jeux et les enfants courent dans l’aire libre au milieu des tables. Ça fait du bien. On embarque dans le train de nuit pour
Milan. Les enfants sont très excités par cette expérience. Ils ont bien dormi, quoique j’aie dû replacer petite fille quelques fois car elle allait tomber de sa couchette. Pour ma part, je n’ai pas très bien dormi car mon sciatique a coincé et j’étais avec bébé sur la couchette, donc assez serré! Papa n’a pas non plus très bien dormi par peur de manquer l’arrêt à
Milan! Somme toute, nous sommes contents de l’avoir fait.