Nathalie971 · 8 avril 2020 à 13:09 · 289 photos 146 messages · 12 participants · 11 098 affichages | | | Bonjour à tous,
Ici, vous trouverez la suite de notre périple au début de l'automne au Japon, qui aura duré 5 semaines et demi en tout, de fin septembre 2019 à début novembre 2019.
La suite, eh oui, car il y a un premier carnet intitulé A la découverte du Japon : de Tokyo à l’archipel des Ryukyu (okinawa). Pour ceux que cela intéresserait, je vous mets les liens : Dans cette première partie, se trouve le récit de notre voyage à :
J’avais entamé l’écriture de la seconde partie du voyage mais visiblement voyageforum a supprimé ce deuxième carnet portant le même titre + Partie 2 et je ne le découvre que maintenant car je n’avais pas écrit depuis quelques temps. Qu’à cela ne tienne, je redémarre un second carnet avec un nouveau titre afin de partager la suite de notre voyage.
Dans cette deuxième partie, vous trouverez les lieux suivants :
- A Shikoku: Takamatsu, Kotohira, La vallée de l’Iya, Tokushima et Naruto,
- L’île de Yakushima,
- A Kyushu : Kagoshima, Chiran, Ibusuki, Takachiho, et Kumamoto,
- Et pour finir Tokyo (2éme partie).
- et "la conclusion"
| | Mardi 15 octobre- Shikoku
Fin de matinée, nous sommes à l’aéroport de Miyakojima. Tout se passe très bien au niveau de l’embarquement.
Nous visitons les boutiques à l’étage. Dans une des boutiques, nous voyons en vente les figurines des policiers emblématiques de l’île.
Dans une autre dédiée au sel, nous voyons le fameux sel de Yohsino de Miyakojima dont nous ne sommes pas parvenus à trouver l’usine pour la visiter. Tant pis, nous prenons une carte avec les coordonnées pour notre prochain séjour. Puis c’est enfin l’heure du décollage en direction de l’aéroport d’ Osaka Kansai.
Pour rappel, notre départ a été reporté de 2 jours, le 15 au lieu du 13. Ces 2 jours étaient prévus sur l’île de SHIKOKU dont l’itinéraire initial prévu était : 2 jours Takamatsu, 2 jours Kochi, 2 jours la vallée de l’Iya, 1 journée Tokushima. Nous avons opté pour supprimer Kochi car l’annulation était encore gratuite et surtout car ville la plus éloignée géographiquement par rapport à notre parcours.
Reprenons, nous sommes donc dans l’avion et nous survolons l’île de Shikoku. Nous apercevons ses montagnes et plages. La vue du ciel est sublime. Nous nous réjouissons d’avance de notre séjour sur cette île pour son côté montagne, même si nous n’y passerons pas autant de temps que nous l’aurions voulu.
Nous arrivons vers 15h30 à l’aéroport d’ Osaka. Nous passons récupérer la voiture de location que nous avons réservé. Il nous faut attendre car il y a du monde. Puis lorsque l’on découvre la voiture, nous sommes un peu surpris et effrayé par le modèle (toyota prius hybride) car cela me semble un peu technologique d’utilisation, et aussi car je crains sa capacité dans les montagnes de Shikoku.
La prise en main est laborieuse d’autant que le personnel ne parle pas bien anglais et refuse ou ne comprend pas (pas réussi à savoir) comment communiquer avec le traducteur vocal. Heureusement l’agent de comptoir est venu à notre secours pour prendre le temps de nous expliquer d’autant que sa sœur et sa mère sont actuellement en voyage en France et il était très heureux de pouvoir utiliser les quelques mots de français appris.
Pas mal de temps plus tard, la nuit est déjà bien tombée, nous quittons l’aéroport d’ Osaka Kansai et roulons vers Takamatsu ! Pour cela, il nous faut affronter les bouchons de la ville d’ Osaka mais cela nous permet d’apercevoir un peu l’architecture urbaine. Nous empruntons 2 ponts dont un qui nous offre une superbe vue de nuit sur la ville de Kobé.
Ces grosses villes passées, nous sommes sur l’autoroute où il n’y a presque plus de circulation. La conduite se fait tranquillement, je prends en main petit à petit la conduite sur cette voiture et roule. Mais je dois bien dire que 70 km/h sur autoroute c’est quand même très lent et long. Je n’ai pas toujours respecté comme il se devait ces limitations mais sans exagérer.
Nous arriverons bien plus tard que dans nos espérances à Takamatsu. Nous sommes à l’hôtel Dormy Inn où le check in se fait jusque 22h (heureusement!) avec sourire comme toujours.
De plus, un bouillon est servi gratuitement tous les soirs aux clients de l’hôtel de 21h à 23h. Avec du poulet frit acheté au Family Mart juste en face de l'hôtel, le menu de ce soir est vite fait. Trop fatigués pour sortir, nous retournerons dormir tranquillement dans notre chambre de taille standard, pas même le courage d'aller à l'espace bien-être de l'hôtel! | | Nous empruntons 2 ponts dont un qui nous offre une superbe vue de nuit sur la ville de Kobé.
L'Akashi Kaikyo Ohashi. À voir ici, ainsi que de quelques merveilles que l'île d'Awajishima recèle.
Mais je dois bien dire que 70 km/h sur autoroute c’est quand même très lent et long. Je n’ai pas toujours respecté comme il se devait ces limitations mais sans exagérer.
Je ne prends quasiment jamais l'autoroute au Japon, mais celle-ci, je l'ai prise, pour aller de Kobe à Naruto, et dans mon souvenir, les japonais roulaient quand même bien au-dessus de la vitesse limite.
pas même le courage d'aller à l'espace bien-être de l'hôtel!
Dommage, car c'est quand même le principal atout des Dormy Inn (avec le bouillon ou les nouilles gratos le soir). En plus, c'est généralement au dernier étage avec parfois vue sur la ville. | | Merci pour le lien. J'avoue aimer l'architecture des ponts et donc de les observer. Sympa ta vue depuis la chambre! J'apprends qu'il se visite, à noter pour une prochaine fois.
Oui, je te confirme et pas que sur les autoroutes! J'ai un souvenir dans le fin fond de la vallée de l'iya, heureusement que j'avais le pied sur le frein, sinon je ne sais pas si je serais toujours de ce monde!
Oui, oui je suis bien d'accord, et c'était une des raisons pour lesquelles on a choisi cet hôtel. Mais rassures-toi nous y sommes allés le lendemain! | | Mercredi 16 octobre
Sous un beau ciel bleu, ce matin, nous nous rendons au jardin Ritsurin-koen, situé à 15 minutes pied de l’hôtel. Nous y accédons par une entrée annexe qui se rejoint par une rue ombragée longeant le jardin et au pied de montagne Shiun.
Avec nos achats effectués sur le trajet, nous prenons notre petit-déjeuner dans ce paisible jardin avec vu sur l’étang. Il y a peu de monde et l’atmosphère est particulièrement douce.
Quant à la suite de notre découverte de ce jardin, c’est un pur délice tant ce jardin est tout simplement magnifique. Il est grand, varié, beau et il y règne un doux parfum de déconnexion totale et d'exotisme.
Nous y croisons un groupe d’enfants,
de jeunes mariés, qui se prêtent volontiers au jeu des photos,
des japonais en balade dont une jeune femme et sa fille avec lesquelles nous aurons le plaisir d’échanger,
des animaux
et des jardiniers.
La visite se finira par le clou du jardin digne des grands films d’époque japonaise.
En bref, nous sommes enchantés par ce jardin et nous y avons passé une grosse matinée et aurions pu y rester encore sans nous lasser.
Grâce à l’aide de la japonaise avec laquelle nous avons partagé un moment, nous parvenons à rejoindre une cantine de la ville, repérée sur le LP, pour nous restaurer. La cantine sert des UDON sorte de grosses nouilles, spécialité du coin. La cantine est remplie d’habitués, famille, salarymen, personnes âgées et il y a du bruit. Pas d’accueil spécifique ni d’indication sur comment nous servir mais nous comprenons sans trop de difficulté. Notre plateau est copieux et le repas à prix raisonnable. Nous sommes repus.
| | Chic, je vais pouvoir repartir un peu Japon, virtuellement pour le moment. Shikoku faisait partie du premier itinéraire que j'avais prévu l'automne dernier. Puis, finalement, j'avais opté pour Kyushu et délaissé Shikoku car il faut bien faire des choix. Donc, je vais lire avec intérêt ton récit en vue d'un futur voyage dans ???????????
La conduite se fait tranquillement, je prends en main petit à petit la conduite sur cette voiture et roule. Mais je dois bien dire que 70 km/h sur autoroute c’est quand même très lent et long. Je n’ai pas toujours respecté comme il se devait ces limitations mais sans exagérer.
C'est vrai que j'ai été très surpris en découvrant que les japonais, si respectueux des règles, dépassent allègrement les limites de vitesse, même si leur conduite reste quand même très "zen". | |
J'ai la même, sans (presque) personne...
En bref, nous sommes enchantés par ce jardin et nous y avons passé une grosse matinée et aurions pu y rester encore sans nous lasser.
Ce jardin est certainement un des beaux du Japon. Et je sais que Bene (pour une fois ^^) ne me contredira pas...
Notre plateau est copié
Je me suis demandé pendant d'interminables dixièmes de seconde, ce qu'était un plateau copié. Mais le repus final m'a fait comprendre qu'il était simplement... copieux | | Et je sais que Bene (pour une fois ^^) ne me contredira pas...
Bah alors, c'est quoi cette remarque totalement gratuite ? Tu as mal digéré mon message sur Itsukushima hier ou quoi (qui n'était même pas une contrediction en plus) ? Ce n'est pas la première fois que tes piques envers les autres contributeurs me font tilter... Attention tu files un mauvais coton à la Ku****
Sinon...
Ce jardin est certainement un des beaux du Japon.
En effet. | | Dans une autre dédiée au sel, nous voyons le fameux sel de Yohsino de Miyakojima dont nous ne sommes pas parvenus à trouver l’usine pour la visiter. Tant pis, nous prenons une carte avec les coordonnées pour notre prochain séjour.
Ah mince c'est dommage. Non pas que ça soit follement intéressant (surtout si on ne parle pas japonais) mais c'est vraiment sympa de savoir comment le sel est extrait. Ce n'est que partie remise :) | | ah alors, c'est quoi cette remarque totalement gratuite ?
Gratuite, gratuite... Et il y avait un smiley !
Attention tu files un mauvais coton à la Ku****
Bah non, je n'ai jamais dit que Tokyo, c'était 5 fois Paris, et donc qu'il faut au moins 6 jours sur place (tout le monde sait bien que pour voir Paris, il faut au moins 1,2 jour )
D'ailleurs, ça fait un moment qu'on ne le voit plus. Finalement, le confinement a du bon... | | Chic, je vais pouvoir repartir un peu Japon, virtuellement pour le moment. Shikoku faisait partie du premier itinéraire que j'avais prévu l'automne dernier. Puis, finalement, j'avais opté pour Kyushu et délaissé Shikoku car il faut bien faire des choix. Donc, je vais lire avec intérêt ton récit en vue d'un futur voyage dans ???????????
La conduite se fait tranquillement, je prends en main petit à petit la conduite sur cette voiture et roule. Mais je dois bien dire que 70 km/h sur autoroute c’est quand même très lent et long. Je n’ai pas toujours respecté comme il se devait ces limitations mais sans exagérer.
C'est vrai que j'ai été très surpris en découvrant que les japonais, si respectueux des règles, dépassent allègrement les limites de vitesse, même si leur conduite reste quand même très "zen".
De mon côté, je n'ai pas réussi à faire ce choix de supprimer Shikoku, j'avais déjà renoncé au Tohoku , et je ne le regrette pas. Nous avons beaucoup aimé le séjour sur l'île même s'il a été plus court que prévu et nous y reviendrons avec plaisir. Les Japonais étaient souvent pour la plupart surpris qu'on aille à Shikoku. A faire!
Pour la conduite, ça rend dingue de rouler à 40km/heure
Bon voyage virtuel | | Oui je ne sais pas on n'a pas trouvé l'usine et le soleil chaud, nous a poussé à vite abandonné. pourtant je me faisais une joie de goûter les glaces au sel dont tu avais parlé sur ton blog, mais bon ça sera mon excuse pour revenir à Miyako, si tant est que j'en ai besoin d'une! | | Ce jardin est certainement un des beaux du Japon.
Un des plus beaux! C'est pour le copié/ copieux que je vais rectifier de ce pas! | | La suite du mercredi 16 octobre
Après ce bon repas, 15 jours de voyage, le manque de sommeil, des journées biens remplies, les beaux-parents sont fatigués. Le projet initial était d’aller à Yashima mais nous retournons finalement vers l’hôtel.
Sur le chemin, nous nous arrêtons dans une pharmacie car nous souhaitons acheter des fioles de ginseng. Les jeunes femmes à l’accueil ne parlent pas anglais et notre barguignage n’est pas suffisant pour se faire comprendre. Mais comme toujours, avec un sens du service aigu, tout est mis en œuvre pour comprendre notre demande et répondre à nos besoins. On va chercher le médecin spécialement pour nous, on sort la tablette pour utiliser un traducteur vocal, qui bien qu’insuffisant, nous aura tout de même bien simplifié la tâche. Le médecin prend tout son temps de nous montrer chaque fiole, vérifier les quantités de ginseng que nous recherchons etc... 30 à 45 minutes plus tard, on est heureux car on a trouvé nos fioles pour nous booster et appris de nouveaux mots japonais ! Ensuite, nous poursuivons notre marche tranquillement vers l’hôtel. Repérage de l’espace bien être avec vue sur la ville (hein masterpro ).
Puis nous nous détendons un peu dans la salle de restauration avant de laisser les beaux-parents se reposer.
Nous décidons ensuite de nous diriger vers le port. Pour cela, on passe devant un parc, on repère une galerie marchande, on observe les gens... en bref, on flâne sans but précis, on est au Japon c’est déjà un plaisir en soi !
Sur le trajet du port, on passe devant la gare mais est-ce une gare de train ou de tramway, je n’ai pas réussi à définir.
Au port, on se balade un peu puis on se pose sur la passerelle sur un banc pour observer le départ et retour des bateaux en direction des îles de la mer intérieure.
La vue mer vers les îles est enchanteresse, elle invite au voyage.
La découverte de ces îles sera aussi pour un projet voyage dans le coin car nous aimons l’ambiance de Shikoku, même si nous y sommes depuis peu, assez pour déjà savoir que l’on s’y plaît bien. Plus tard, nous rebroussons chemin en passant par la galerie marchande, gigantesque, et grouillante de monde. C’est un enchaînement de magasins japonais et de grandes marques internationales, il y en a pour tous les goûts.
Équipés de l’adresse d’une salle de réseau internet, récupérée auprès de l’accueil de l’hôtel, nous sommes encore une fois dans le besoin d’être aidés pour trouver le lieu. C’est, entres autres, une jeune étudiante qui va gentiment nous guider jusqu’à la salle en réseau, en marchant avec nous et son vélo. Un peu timide mais curieuse, elle nous questionne et la conversation est lancée.
Je ne sais pas si dans un autre voyage, nous avons eu l’occasion d’être si souvent dans l’échange direct avec la population, de par la fréquence des possibilités, je veux dire, mais c’est bien plaisant !
Un quart d’heure plus tard, nous voilà arrivés au pied de l’immeuble de la salle en réseau. Chouette car je n’ai plus de place pour stocker mes photos et j’ai besoin impérativement de les transférer sur une clé usb. Nous montons donc à l’étage et là c’est le début d’une grande aventure..... qui après la panique des jeunes femmes à l’accueil ne parlant par anglais, ne comprenant pas trop comment on est arrivés ici et que l’on ne comprenait rien à ce qu’elle nous expliquait, du moins au départ....C’est un club dont il faut être membre et seul le membre a le droit d’accès. Je m’inscris et suis désormais officiellement membre d’un club de réseau internet à Takamatsu. Mon compagnon va vagabonder ailleurs et on se donne rendez-vous dans 30 minutes !
Une hôtesse me fait visiter les lieux et m’installe dans une cabine privée. C’est vraiment sympa mais l’atmosphère est particulière et me donne l’impression qu’il y a surtout des hommes qui viennent d’après les chaussures au sol.
Me voilà dans ma cabine et assise, les meubles en simili cuir noir, ambiance très sombre... face à mon écran tout en japonais !! Ahaha je cherche bien toute seule comment faire mais trop compliqué alors je rappelle l’hôtesse qui gentiment m’expliquera comment faire copier coller !! Mais cela prend plus de temps que prévu donc j’écourte car mon compagnon doit m’attendre mais c’est déjà çà ! Sachez que dans ce club, on peut manger, boire du café, accéder à une bibliothèque de manga, faire une lessive et dormir !
Après cette aventure informatique, nous continuons la découverte de la ville la nuit puis nous arrêtons dans un izakaya où il n’y a que des cartes en japonais et pas de photos mais il y a des japonais qui semblent bien s’amuser.
L’expérience était rigolote mais pas totalement concluante car le repas n’était pas bon et nous étions dérangés par la fumée du tabac. A refaire ailleurs !
Retour à l’hôtel, dîner bouillon gratuit et détente à l’espace bien être petit mais sympathique hammam pour moi avec écran de télévision géant, et onsen extérieur pour monsieur. | | Sur le trajet du port, on passe devant la gare mais est-ce une gare de train ou de tramway, je n’ai pas réussi à définir.
Bonjour,
C'est la gare Takamatsu-Chikkô, terminus de la ligne Kotoden - Kotohira, appartenant à la compagnie de chemin de fer privée Kotoden. La raison d'être de cette ligne est de desservir l'autre terminus, Kotohira, où se trouve le sanctuaire homonyme, souvent appelé Kompira-san, l'un des plus célèbres de Shikoku. | | Sur le trajet du port, on passe devant la gare mais est-ce une gare de train ou de tramway, je n’ai pas réussi à définir.
Bonjour,
C'est la gare Takamatsu-Chikkô, terminus de la ligne Kotoden - Kotohira, appartenant à la compagnie de chemin de fer privée Kotoden. La raison d'être de cette ligne est de desservir l'autre terminus, Kotohira, où se trouve le sanctuaire homonyme, souvent appelé Kompira-san, l'un des plus célèbres de Shikoku.
Merci de cette information. La prochaine étape se situe d'ailleurs au sanctuaire kotohira. | |
Kotohira, c'est la ville. Le sanctuaire, c'est Kotohira-gū, ou Konpira-san. (pas pu m'empêcher...) | |
Kotohira, c'est la ville. Le sanctuaire, c'est Kotohira-gū, ou Konpira-san. (pas pu m'empêcher...)
Hum..
宮 gū (dans Kotohira-gū), cela veut dire sanctuaire. L'expression "sanctuaire Kotohira" est donc correcte. (pas pu m'empêcher...) | | Jeudi 17 octobre - Kotohira
Déjà l’heure de quitter Takamatsu, c’était trop court, nous aurions aimé rester plus mais environ 1400 marches à monter nous attendent à Kotohira. Nous récupérons donc notre bolide dans un de ces parkings en étage complétement hallucinant pour un français
puis roulons, traversons des villes moyennes jusque Kotohira.
Tout est très organisé à Kotohira, de nombreux parkings payants gardés sont dispatchés autour de l’entrée du Konpira-san, sanctuaire dédié à la mer aux bateaux.
L’accès se fait par une rue bordée de commerces des 2 côtés de l’allée.
C’est un sanctuaire renommé, il y a donc du monde mais moins que quand on repartira plus tard dans l’après-midi. Ce pèlerinage est réalisé par de nombreux japonais de tout âge et quand vous l’aurez fait, vous vous souviendrez de l’incroyable énergie des personnes âgées au Japon, car les 1 368 marches qui nous attendent ne sont pas une mince affaire !
C'est sans doute la raison pour laquelle un bain de pieds public est possible.
Nous avançons tranquillement sans avoir conscience de ce qui nous attend, nous récupérons à l’office de tourisme, un plan et quelques prospectus de la région, un tour aux toilettes et c’est parti mon coco. Des marches en pierre plus ou moins en palier pour démarrer...
Puis l’entrée du sanctuaire dans un cadre verdoyant dégageant cette sérénité propre au Japon.
Puis des marches, des marches,
des haltes religieuses,
artistiques,
animalières
puis des marches,
encore des marches
Vue du bas, le sanctuaire est en haut
Vue du haut, aïe, aïe,
jusqu’au sanctuaire principal
se situant sur une grande esplanade presque à 360 degrés offrant également une belle vue sur la vallée de Sanuki.
Nous avons ainsi gravi 785 marches non sans effort ! Ganbatte, ganbatte ! | | 宮 gū (dans Kotohira-gū), cela veut dire sanctuaire.
Oui, c'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai écrit que le sanctuaire, c'était le Kotohira-gū.
L'expression "sanctuaire Kotohira" est donc correcte. (pas pu m'empêcher...)
Ben... non ( et tu aurais dû essayer). Parce que si on traduit Fujisan par : mont Fuji, ou Biwako par : lac Biwa, on ne traduit pas Ōsaka-jō par : château Ōsaka, mais par : château d'Ōsaka. | Carnets similaires sur le Japon: Photo postée par le membre Nathalie971. Heure du site: 6:27 (21/09/2024) Tous les droits réservés © 2024 MyAtlas Group | 213 visiteurs en ligne depuis une heure! |