Jojoone1 · 30 août 2017 à 19:56 · 350 photos 186 messages · 31 participants · 23 215 affichages | | | À: Jojoone1 · 30 septembre 2017 à 14:40 · Modifié le 22 oct. 2017 à 14:18 Re: Carnet de Thaïlande: de Chiang Mai à Bangkok, on ne Bouddha pas notre plaisir Message 122 de 186 · Page 7 de 10 · 1 289 affichages · Partager Celle-ci est l'une de mes préférées.
| | BONJOUR
Non, la photo de mon avatar, c'est un langur de Prachuap.
Et toi, c'est mme ? | | clasique mais jolie , et le petit garcon
la mienne est une princesse javanaise | | Il fallait donc retourner au Wat Sutthawat et par chance il était ouvert cette fois. L'intérieur est effectivement de toute beauté, les fresques sont impeccables et abondamment colorées.
On nous ouvre même les portes de la petite chapelle à côté, où on découvre les statues du roi Naruesan et de son frère Ekhathotsarot.
Le Wat Ton Son est un temple de la fin de la période Ayutthaya, localisé près du collège technique à Ang Thong. Il a été réhabilité en 1945 et dans les années 70/80. Il occupe une grande superficie. Dès l'entrée, nous sommes accueillis par un grand bouddha assis, orné de son parasol.
Le premier viharn dans lequel nous entrons présente des fresques chatoyantes sur la totalité de ses quatre murs.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que le temple principal fait dans le grandiose. Sol en marbre, gros piliers colorés, belle hauteur de plafond et bien sûr un impressionnant bouddha de plus (19 mètres de haut sur 14 mètre de large) ! Ce bouddha est installé en hauteur et on peut y accéder en montant quelques marches, où l'on découvre d'autres statues.
Nous faisons encore un saut anecdotique au Wat Keschaiyo, le temps d'admirer le très beau duo de bouddhas dorés trônant dans une petite salle, que le gardien des clés prend la peine de nous ouvrir.
Enfin, nous achevons notre long périple " campagne " au Wat Chantharangsi, à environ 4 km au sud-est d' Ang Thong. Il est consacré au célébrissime moine Phra Mongkol, dont les statues, statuettes, portraits et répliques en cire foisonnent. Les thais se recueillent devant de grosses boules en verre, déjà aperçues en plus petits formats dans d'autres temples. On ne peut que remarquer les vases de 4 mètres de haut disposés de chaque côté de la plus grande statue.
A quelques pas, un pavillon chinois abrite une grande statue très colorée de la déesse Kunn Yin. A ses pieds, une autre statue dorée s'est vue offrir de longs colliers de perles. Le pavillon est gardé par quatre gros lions farouches en marbre blanc, tout mignons avec leur épais ruban rose.
| | Dès notre arrivée à Bangkok, nous allons déjeuner au Queen of Curry. Il s'agit d'un restaurant qui a très bonne réputation et qui se révèle plutôt satisfaisant. Comme la plupart des adresses " tendance ", nous le trouvons quand même surcoté. Le service est lent et on profite bien fort de la musique commerciale du bistro d'à côté.
Toujours dans le même quartier, à Sathorn, nous nous rendons au Wat Yannawa, " le temple du bateau ". Sa caractéristique la plus évidente, c'est qu'en plein milieu du périmètre s'étale en effet un viharn en forme de bateau, en rapport avec toute cette flotille qui assurait régulièrement le commerce avec la Chine.
Au rez-de-chaussée du bâtiment principal, nous avons vu une foule d'objets merveilleux, dont des antiquités de plusieurs pays du sud-est asiatique. Malheureusement, à l'instar d'autres temples de style chinois, les photos et films y sont interdits. Nous avons bien essayé de nous renseigner à ce sujet et quelqu'un nous a dit qu'ils craignaient que les images soient détournées sur internet pour se moquer du Bouddha. Pas si sûr que cette personne nous ait donné la bonne version. Et puis nous dire ça, à nous, ça ne tient pas debout, quoi ! L'appareil photo s'est déclenché un peu avant que l'interdiction formelle nous soit donnée par plein de gens qui veillent au grain, ça nous fera quand même un tout petit souvenir...
C'est dans les jardins de ce temple que nous avons enfin compris pourquoi un arbre omniprésent près des temples s'appelle le Canonball. Jusqu'à présent, nous n'en avions vu que les fleurs. Vient fatalement le moment où on arrive devant l'arbre et où on se demande qu'est-ce que c'est que ces boules métalliques rouillées qu'ils ont accroché aux arbres. C'est quand on comprend que ça fait partie de l'arbre qu'on est rudement surpris.
Un bon nombre de touristes recommande de passer un bout de soirée au Vivi Café, au bord du fleuve, non loin du Wat Pho. Non seulement l'espace est un peu étriqué mais comme ce n'est pas en hauteur la vue n'est pas si formidable que certains le prétendent. Arrivés une demi-heure avant l'heure prévue pour la fermeture, nous resterons sur le souvenir de cet employé patibulaire qui nous refoule, en même temps qu'un autre couple, avec un laconique et désagréable : " Closed ".
Nous y avons vraiment gagné au change. Après quelques minutes de marche pour notre premier Bangkok by night depuis longtemps, nous avons découvert un rooftop au 5ème étage avec une vue fantastique sur le fleuve et le Wat Arun illuminé. Autant dire que nous y sommes restés un bon moment, à notre table juste à la balustrade, à gober le point de vue. En plus c'était un de ces soirs d'été avec les étoiles visibles. De l'autre côté du rooftop sont placés quelques sofas qui offrent une vue sur le Wat Pho et le palais royal un peu plus loin. Sans la foule, juste un moment béni.
| | la photo en dessous du.....boulet de canon....est très belle.
Quel est le nom du roof top situé au 5ème étage ?
Sympathique carnet de voyage, merci de le partager. | | Pas vrai qu'on a eu un peu de chance avec le ciel cette année pour certaines photos ?
Quant au fruit du Canonball, je te garantis qu'il vaut mieux ne pas se cogner la tête dessus.
Merci d'apprécier, Bangkok commence à peine... | | La journée est grise. Nous décidons de prendre un long tail boat au Saphan Taksin Pier pour voir si ça se révèle plus intéressant qu'ailleurs. Ca n'est pas le cas puisque les tarifs sont officiellement prévus à 1000, 1500 et 2000 bahts pour respectivement 1 heure, 1 heure 30 et 2 heures. Enfin, la balade sur les klongs n'était pas un but en soi puisque nous faisons une nouvelle incursion dans Thonburi, le quartier à l'ouest du Chao Phraya, là où Bangkok est née.
Plusieurs temples cohabitent en effet là où nous allons. En premier bien sûr, le Wat Paknam. Il existe depuis le 16ème siècle et il y a clairement du monde sur place : plusieurs centaines de moines, de nonnes et de novices. La petite chapelle est une merveille. Non seulement les fresques dépeignant la vie de Bouddha sont de la meilleure qualité, agrémentées d'enluminures en or, mais celles qui sont positionnées en-dessous représentent divers temples royaux, ainsi que des moines et souverains.
Dans une courette entre deux bâtiments, la statue d'un moine et celle d'un éléphant sont honorées et revêtues d'or par quantités de pèlerins. Nous suivons le flot des visiteurs pour emprunter un escalier. Partout il y a du bois précieux. Et nous débouchons dans une vaste pièce où tout le monde prie à genoux devant le cercueil du vénérable, décédé en 1959, qui a fait d'un temple presque désaffecté un lieu de diffusion de la foi bouddhiste dans le monde. Sur une petite estrade, le long des fenêtres, sont assis des moines qui psalmodient. Nous n'arrivons pas à nous y habituer, et c'est heureux.
Nous n'avons pas visité le gigantesque chedi blanc de 80 mètres aménagé il y a quelques années à peine pour une fortune. Il parait qu'il vaut le déplacement, sans doute y retournerons-nous un jour.
Le petit Wat Mo n'a guère de prétentions par rapport à son prestigieux voisin. On reste quand même quelques instants en arrêt face à sa mini-montagne peuplée d'une trentaine de bouddhas, tous drapés d'orangé.
Le Wat Kun Chan complète le trio, dans un style radicalement différent. Tous ce qu'il leur restait en stock de peintures de couleur et qu'ils n'ont pas employé pour d'autres temples, ils semblent l'avoir utilisé ici. Il était écrit qu'il nous serait offert une dernière facette du gigantisme dans les temples : nous voilà encore tout petits sous de bien grands personnages...
A noter que le petit quartier autour de ces temples foisonne de maisons anciennes, un petit bout préservé du Bangkok d'avant...
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Dans le quartier de Sathorn, grossièrement au sud du parc Lumphini, c'est une excellente idée que de visiter la maison de Monsieur Kukrit Pramoj. Ce personnage hors du commun a été banquier, romancier, journaliste, acteur et premier ministre. Il a laissé à la postérité son terrain de deux hectares en ville, sur lequel il a fait amener et reconstruire des maisons traditionnelles. L'entrée est à 50 bahts, les horaires d'ouverture de 10 h à 16h. Il subsiste ainsi une autre parcelle de la Thailande d'autrefois, avec les buildings en toile de fond. L'aménagement des deux côtés du jardin est réussi. Un peu à l'écart des grandes avenues, c'est un havre de paix.
Ceux qui ont quelques moyens et comptent se marier peuvent louer une partie du lieu et y inviter famille et amis pour la réception et le banquet. Attention toutefois à ne pas se réveiller le lendemain avec un tigre dans la chambre, le visage tatoué...
Nous avons commencé à admirer les antiquités rassemblées par l'ancien propriétaire, décédé en 1995. Voilà encore bien des trésors collectés par un homme qui aimait tant son pays.
Cependant, la visite ne sera pas complète cette année puisque nous nous faisons rapidement apostropher par un homme d'un âge certain, assis là tranquillement, en train de réparer des babioles. Nous lui plaisons et il a très envie de discuter avec nous. L'assurance, l'expérience, la culture et une éducation distinguée sont toutes immédiatement apparentes. Lorsqu'il nous explique, à moitié en français et en anglais, qu'il s'occupe de réparer de petites choses, de créer quelques petits objets d'art et de préserver l'héritage de son père, nous réalisons que nous sommes attablés avec Monsieur Rongrit Pramoj, fils de Monsieur Kukrit et arrière-arrière-petit fils de Rama II. En bon hôte, il s'empresse d'ailleurs de nous faire venir des boissons. Le temps passe vite au fil des bavardages et vient le moment où il nous demande où nous nous rendons. Nous lui expliquons que nous avons rendez-vous à une heure précise pour un rendez-vous culinaire et qu'il nous faut prendre congé.
Le voilà qui décide de nous faire amener par son chauffeur. Nous voyant un peu gênés, il nous dit, avec son charmant accent anglais " Vous savez, il utilise bien la voiture pour aller voir sa maitresse, alors comme il est payé pour ça, il peut bien conduire les gens que je lui demande d'amener quelque part ". Sans commentaires, c'était si spontané et trop drôle dans ce contexte. Nous sommes gâtés cette année, de par la variété et la qualité des rencontres que nous faisons.
| | Un message plein de contraste entre architectures anciennes et modernes.
La rencontre que vous avez faite est surprenante, inattendue et très plaisante.
Instructif message, avec de sympathiques photos, tout cela est bien plaisant.
Je crois savoir qu'il y un petit musée près de Payathai qui regroupe quelques maisons anciennes. Un oasis de quiétude au milieu de la grouillante Bangkok. Je n'y suis jamais allé....Qui sais, peut-être au prochain voyage....encore une quarantaine de jours à attendre.
PS: Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'ai jamais pensé à faire des photos d'architecture moderne en Thaïlande. Quand on voit le rendu que vous arrivez à avoir...ça fait envie. | | Bonjour Christophe,
Le nom que tu cites me dit vaguement quelque chose mais je l'ai peut-être évoqué sur la page dont lien ci-dessous. A part ça, il y a encore la maison de Jim Thompson.
voyageforum.com/...d-angkor-d6221971-7/
Beaucoup de tes interventions sur ce fil sont intéressantes pour nous. On aimerait toujours être une petite souris et connaître le ressenti global. Nous sommes toujours un peu réticents à montrer des choses que tout le monde voit directement, juste en allant en Thailande. Pourtant, les premières dizaines de minutes après l'arrivée, à contempler la scène des gratte-ciels depuis le tollway, sont un ressenti que nous n'échangerions pas. Le beau ciel de cette matinée-là nous a facilité les prises de vues, parce que sinon... A bien y penser, les carnets ne reflètent pas vraiment nos voyages. Mais il y a tellement de moments où on n'a pas envie de sortir l'appareil, juste de vivre le moment à 100%. Ca concerne moins les personnes qui emmènent un petit appareil photo ou un téléphone, il y a le côté maniabilité aussi. Avant de rencontrer ma petite photographe, je ne prenais quasiment jamais de photos de vacances. Même un appareil photo était une contrainte dont je ne voulais pas m'embarrasser, juste vivre intensément chaque moment. Quand je filme, je ressens clairement que la chose m'échappe et que ma manière de vivre l'instant est rarement aussi complète. Mais alors quelle récompense sur les jours, mois, années après le voyage. En ce moment, tu comptes les jours. Nous malheureux on compte les mois ! | | Bonjour, Je crois que tu veux parler du palais suan pakkad, "le jardin des choux", très jolies maisons et musée, la City Line passe juste au dessus... C'est très beau mais plus institutionnel et moins intimiste que la maison de Kukrit. Tu verras bientôt tout ça....quelle chance | | Bonjour et merci pour ces récits. Je suis sûre que beaucoup de voyageurs s'en inspirent. Moi même, par exemple, passant l'année dernière une semaine à Ayutthaya la très belle, je suis allée au temple - je ne sais plus son nom- qui est plein d'automates et de lumières style las Vegas kitch, une idée venue d' un de tes carnets. Très contente de cette promenade dans la maison de Kukrit, un vrai plaisir, j'y vais à chaque séjour à Bangkok et je ne m'en lasse pas. Je connais le monsieur un peu étrange et charmant que vous avez rencontré. C'est le régisseur de la maison, une fonction que sa famille à toujours occupée, employée depuis très longtemps par la famille Kukrit. Ca m'étonne qu'il descende du roi Rama II, je mais je ne voudrais pas être cause d'une perte de face à qui que ce soit...terrible....il parle très bien du Bangkok des années 50 quand les khlongs entouraient la maison. Jolie rencontre, il aime se choisir quelques visiteurs et discuter, dans ces cas là on reste après la fermeture, vous avez été élus, bravo. J'espère qu'il y en a encore à raconter, bonne journée ! | | Nolack avait raison, je suis allé rechercher ce petit musée semblable à l'endroit où vous êtes allés. Il s'agit bien du palais Suan Pakkad, ou Suan Pakkard. A voir l'occasion...
Pour ce qui est de la maison de J.T. je n'y suis jamais allé et pourtant je loge pas très loin. Tant de chose à voir, à faire, et si peu de temps pour le faire.
Beaucoup de tes interventions sur ce fil sont intéressantes pour nous. On aimerait toujours être une petite souris et connaître le ressenti global.
Soyez assuré que mes interventions ne représentent pas le ressenti global, juste le mien et c'est très bien comme ça.
Même un appareil photo était une contrainte dont je ne voulais pas m'embarrasser, juste vivre intensément chaque moment
Il est vrai qu'on peut débattre longtemps des avantages et inconvénients de la capture d'image. Le temps passé à en faire n'est pas un moment où on profite pleinement de l'endroit et du moment. D'un autre côté, il est plaisant d'avoir quelques souvenirs en image. Vaste débat.
En ce moment, tu comptes les jours. Nous malheureux on compte les mois !
Bah ! Chacun son tour. Moi, je vous enviais quand vous étiez sur place...
N'ayant pas votre talent pour la photos et l'écriture, mon carnet sera plus court et je ne poste pas de photo, je les trouve jamais assez bonnes. Cela dit, c'est quand même plaisant d'avoir de belles photos pour illustrer un carnet de route. Je me souviens de vos premières photos à Chiang Mai, le parc du centre ville, très belles images et il y en a eu beaucoup d'autres.
Une belle fin de soirée à vous. | | Bonjour,
Merci pour cette intervention !
Il est bien le régisseur mais n'est pas employé par la famille. Il est la famille. Si tu tapes Rongrit Pramoj sur Google, puis recherche par images, tu trouveras quelques photos de ce monsieur. Un peu plus jeune, mais on le reconnait bien. Le site thai cite deux enfants pour Mr Kukrit, un garçon et une fille. La photo du fils est bien celle de l'homme qu'on croise sur place. Il nous l'avait dit directement, qu'il était le fils de M Kukrit.
Effectivement, si tu fais la recherche sur la vie du père, Kukrit Pramoj, tu réalises que lui et son grand frère n'ont pas été 1er ministre par hasard. Il est bien indiqué qu'ils étaient les arrières petits fils de Rama II
J'en conclus que si on ne sait pas que quelqu'un est célèbre, on se rend parfaitement compte que c'est simplement une personne comme les autres. Bon, il a fait ses études en Angleterre, c'est sûr qu'il a la classe... | | Le lien que je t'avais mis mène bien à la page de notre carnet où on était allés à Suan Pakkad. On a préféré la maison de M Kukrit, autant pour l'endroit que pour sa localisation.
Avant qu'on y aille, on fumait une cigarette sur la grande avenue où se trouvent les immeubles. Un policier trainait par là, attendant qu'on jette les mégots pour nous mettre une amende. Lorsqu'il a vu qu'on avait une petite boite pour les recycler, bon joueur il nous a félicités en levant le pouce et en nous faisant un grand sourire. | | Intéressant, en effet....je regarderai Googlei. L'imprécision sur son statut est sans doute due au fait que je parle avec lui thaï, anglais, français, c'est source de confusion, forcément. Pas facile mais ce contexte historique que tu m'expliques me rend la rencontre d'autant plus touchante. À bientôt, de te lire à nouveau | | Françoise avait donc repéré un restaurant qu'elle voulait absolument tester. Lorsqu'elle tient à son idée, c'est que c'est en principe une bonne idée.
Le chauffeur nous dépose au Siam Wisdom, dans un coin tranquille de Sukhumvit. Cette belle maison a été construite en préservant un gros arbre, lequel prospère toujours en plein milieu. La nouvelle propriétaire est française, d'origine thai. Elle nous a fait une fleur en acceptant exceptionnellement de nous installer notre table à l'extérieur car en général la clientèle se situe dans le haut de gamme et déjeune ou dîne dans les salles climatisées.
Le concept consiste en une redécouverte des anciennes recettes thai perdues, dans tout ce qu'elles ont de plus fin et de plus noble. On ne peut que s'incliner, ayant eu la chance d'apprécier le résultat : l'ensemble était de haute volée, avec beaucoup de saveurs inédites. Nous avons d'autant plus apprécié que la propriétaire a décidé de varier les plats, de manière à ce que tous deux nous n'ayons jamais le même et puissions goûter à tout. Nous ne pensions pas que nous avions encore la capacité de déguster tant de choses mais il faut bien reconnaitre que nous n'avons pas eu à nous forcer (quoique....vers la fin...).
Et comme les images sont plus parlantes que les mots :
Evidemment, après ça ce n'était plus la peine d'essayer de visiter un temple | Carnets similaires sur la Thaïlande: Heure du site: 7:51 (21/09/2024) Tous les droits réservés © 2024 MyAtlas Group | 328 visiteurs en ligne depuis une heure! |